La Merkavah et la Maison-Dieu, ça picote un peu…

Ce sera ici un article extrêmement mal rédigé, presque sur le mode du Tweet.
Je m’en excuse par avance auprès de mes quelques lecteurs fidèles, que j’ai dû habituer à une écriture un peu plus rigoureuse, avec force références et liens hypertextes.

Voilà : Alors que je lisais ce matin un article canalisé à propos du cube métatronique et de la Merkavah / Merkabah, j’ai fait un rapprochement fortuit entre :

  • la Maison-Dieu dans le Tarot,
  • la Merkavah,
  • « The Instrument of Thrashing » (« L’Instrument de la Râclée ») dans les carnets de John Dee
  • l’emploi du nombre 13,
  • les divinités courroucées en Tantra tibétain,
  • la « décussation pyramidale » chère à Toni Ceron,
  • le Feu Igné tel que traité ici (incorrigible, vous-dis je…) : Le message d’Erelim, Dragon de Feu

L’idée principale du texte canalisé ci-dessus repose sur l’idée qu’il existe plusieurs types de feu intérieur en travail des énergies. Sans entrer dans la sémantique de ces feux, toujours délicate à collationner dans la douteuse littérature New-Age, je retiens trois termes que je relie assez facilement à des concepts connus du magnétisme guérisseur :

  • Feu éthérique
  • Un Feu « vibral »
  • Le Feu Igné

Le dernier feu, d’intuition, me semble être déjà présent dans les textes de la Théosophie, en l’occurrence dans ceux d’Alice Bailey, ce qui pourrait le rapprocher de l’hénokéen, puisque l’hénokéen est un « aimant à feu » (cf Jean-Luc Roime) et que la structure de l’Heptarchie Mystique est liée aux Chohans en Théosophie.

Toujours dans le même texte canalisé, il est bien précisé que cette irruption du Feu Igné est intimement liée à la connexion des corps subtils de l’Être Humain avec une sorte de « super-Âme », qui ressemblerait fort à Atman…
Dès la mise en œuvre de cette connexion, bien concrète quant à l’emploi de certains points le long du corps physique, un torrent de « Feu Igné » vient petit à petit, par capillarité, s’immiscer dans les nâdis et chakras du corps subtil.
L’union des énergies personnelles et de ce Feu se manifeste en certains endroits par des « colonnes de lumière ».

Or la caractéristique fondamentale de ce Feu est qu’il n’a pas un rôle guérisseur. Je répète : Le Feu Igné n’a pas un rôle guérisseur. Il purifie, ni plus ni moins.
Tel un feu.

C’est donc un coup de massue dans un certain ensemble de conceptions préétablies de la gentillesse. Mais…
…Il ne s’agit pas de malveillance. Au contraire, le texte canalisé parle bien d’une délivrance, d’un processus de transformation sacrée qui ne doit pas être pris à la légère.

Lorsque donc Toni Ceron, le fameux spagyriste, nous explique qu’un Archétype de Feu doit être remis en mouvement dans la psychê humaine par delà le bien et le mal, et que pour ce faire en début de protocole un coup de diapason relié au symbolisme du 13 est donné, c’est bien je pense de ce Feu Igné dont il est question.

De même, lorsque dans les illustrations du tantra Nyingma, ou dans les illustrations du Coran on voit des dieux et déesses, des prophètes qui brûlent littéralement, c’est encore de ce Feu Igné dont il est question. Le texte canalisé assure que l’on peut s’attendre parfois à percevoir de vraies flammes dans l’astral / éthérique en regardant une personne qui est en train d’intégrer un peu de Feu Igné.
C’est bien le Feu de Kali, Celle qui aime les crématoires, dont le collier de quarante-neuf crânes humains est homéomorphe aux quarante-neuf portes du Liber Logaeth, et dont le nombre 49 se réduit théosophiquement à treize.

C’est là que tous les procédés de magie noire, ceux qui se sont prétendus libérateurs ont été usurpateurs du Pouvoir de la Merkabah.

Lorsque l’on regarde dans le Tarot de Marseille l’Arcane seize, « la Maison-Dieu » (« l’Âme et son Dieu » d’après Jodorowski), c’est bien le pouvoir de la Merkabah que l’on contemple, les deux fenêtres et la porte formant triangle en sont une évocation.
Cette Maison-Dieu, d’après Toni Ceron, en est un symbole puissant, puisque le panache bi-colore de Feu qui vient frapper la couronne au sommet de la Tour fait directement référence au procédé « d’illumination par la couronne » dans le texte canalisé.

C’est un Arcane qui déçoit, c’est-à-dire qui extrait les idées implantées, mais aussi qui fait démonstration, qui enlève les monstres. C’est, toujours d’après Toni Ceron, un effondrement intérieur, prélude à une chaleur dans les rapports humains et dans les pensées cultivées.
L’effondrement et l’apparente inversion des valeurs que cela suppose, comme envisagé dans l’Arcane précédent, « le Diable », est appelé « décussation pyramidale » par Toni Ceron.

C’est à cet instant précis que toutes les aliénations, tout ce qui a été ingéré, tout ce qui est aliénant, extérieur, tout ce que le temps a fait de nous doit être écroulé, métabolisé. Donc, les traumatismes, les drogues, les addictions, les contraintes, les coercitions, les imaginaires assistés, les carcans, du balai !
Et cela passe nécessairement par cette phase délicate de la décussation, de cette pure combustion intérieure, par un ensemble de déceptions qui, mal comprises, ressemblent à une destruction ténébreuse et folle.

Et c’est là le sens de « l’Instrument de la Râclée » dont parlent les Anges Hénokéens dans les carnets de John Dee et d’Edward Kelley. Pourquoi les Anges avaient-ils une dialectique si agressive, si vindicative vis-à-vis des humains ?
C’est ce qui a laissé supposer que la magie hénokéenne était fondamentalement violente.

En fait, c’est bien une « Magie de la Maison-Dieu », amenant la destruction des illusions, l’effondrement des habitudes de pensée et de vie en société, et surtout la connexion à un Feu Magnifique, lié directement au symbolisme de l’Arcane sans Nom, ainsi qu’au Cube Métatronique, représentation figurée de la fameuse Décussation Pyramidale.

À propos de la magie noire, il faut savoir qu’il existe un ordre alternatif de lecture du Tarot le long de l’Arbre de Vie, donné par un certain Frater Achad et auquel je me suis déjà intéressé sur ce blog.
Classiquement, les vingt-deux lames du tarot de marseille :

  • se répartissent sur les vingt deux sentiers de l’Arbre de Vie.
  • On les répartit en lisant les lames depuis le sommet de l’Arbre (du côté de Kéther)
  • et en descendant « en zig-zag », effectuant une figure appelé « Mesla » ou « Épée de Feu »…Tiens donc…

Dans des domaines plus obscurs, il existe un ordre de lecture des sentiers en commençant par le bas de l’Arbre de Vie, avec la première lame « Aleph » associée à l’Air et au Mat. Le Mat (chaos) y est confondu avec « Maat » l’Ordre Divin. L’ordre de succession des lames, séduisant s’il en est, fini par s’interrompre sans que « Frater Achad » en donne plus de détails.

En pleine inversion des valeurs, le chemin est réputé être celui du Serpent. Toutefois, je me souviens avoir lu un texte qui expliquait que le serpent cherchait à grimper à l’Arbre, mais finissait par sombrer dans l’Abysse.
Je pense que c’est à prendre symboliquement, c’est-à-dire ce que Frater Achad a refusé de révéler, est que son « chemin du serpent » finit par passer dans « Daath » la séfira invisible, et continue dans l’Arbre de la Mort.
C’est l’échec de la décussation pyramidale. La Merkavah n’est pas connectée à l’âme humaine, qui va se perdre dans les profondeurs de Daath. Destin maléficié s’il en est, comme aurait dit un druide de ma connaissance.

Donc : La connexion de la Merkavah à l’Âme humaine injecte des énergies porteuses de Feu, donc de Vie et de Mort. La subjectivité vécue de l’expérience fait penser à une traversée de Daath, mais sous une guidance supérieure. En Rose+Croix, classiquement on dit « le Shin (Feu) dans Yahweh (Yod-Hé-Wa-Hé) donne Yéhéshouah ».

La magie noire vise à faire régner la confusion entre l’expérience vécue et les symboles employés. En utilisant entre autres le « chemin du serpent » dans le Tarot, elle vise à connecter l’âme à Daath pour lui faire croire qu’elle est reliée à la Merkabah.
Dans le premier cas, c’est la connexion au Divin (par la Merkabah) qui picote un peu.
Dans le second cas, il nous est proposé la destruction de soi-même avec l’espoir que cela nous connectera au divin.

A+,
Hiramash.

Le sang de dragon scelle une amitié brisée ?

L’encens « sang de dragon » est issu d’une racine d’un arbre, le dragonnier, que l’on fait suinter à la manière de la résine de pin si je ne me trompe pas.
Or je souhaite mêler ici deux mythes, qui expliqueraient l’intérêt que portent les créatures draconiques à ce type d’encens.

Le premier mythe concerne l’Atlantide, telle que racontée par la Théosophie. En gros le continent de l’Atlantide aurait laissé en s’effondrant dans l’océan un vestige, l’archipel des Açores.
L’effondrement aurait été causé par l’emploi d’une terrible magie noire, poussant les Adeptes et les Maîtres de Sagesse à se cacher.

Le second mythe est celui de la Draconia.
Les Dragons, nobles et puissants, furent autrefois amis avec les humains, d’une complicité telle qu’ils leur confièrent bien des secrets sur la magie des étoiles et des tréfonds de la Terre, ce qu’on appelle aujourd’hui la Grille cristalline. Race d’ingénieurs et de magiciens, ils étaient à l’origine de la formation de la Terre et de l’éveil de l’humanité. À cette occasion, on les appela « Seigneurs de la Première Flamme » ou plus simplement « Seigneurs de la Flamme ».
Ils furent cruellement trahis lorsque les humains commencèrent à pratiquer la magie noire, et durent se cacher dans l’astral pour continuer à agir en attendant des jours plus propices.

Ressemblance patente des deux mythes, qui ne s’arrête pas là. Il existe deux sortes de dragonniers, celui des Açores, qu’on peut surnommer « dragonnier atlante » au vu de ce que nous venons d’écrire, et le dragonnier indonésien dont je parle sur ce blog à propos des sorciers batak.

Je crois que le sang de dragon venant du dragonnier azoréen / atlante doit évoquer, avec beaucoup de nostalgie, l’époque où les dragons et les humains étaient comme « larrons en foire »…
Chaque fois que du sang de dragon variété atlante brûle, pour un dragon c’est un peu une commémoration triste comme la flamme du soldat inconnu…

A+,
Hiramash.

À l'heure de régler les comptes…

Voilà, c’est fait ! Ouf !

J’étais tellement fatigué hier soir que j’ai laissé tout l’autel en plan, et j’ai rangé ce matin…
Je me suis fait une belle frayeur en préparant les rituels de magie, car je me suis aperçu qu’au cours d’un déménagement, j’ai dû probablement perdre une coupelle en Pyrex…

Pour faire brûler de l’encens, j’utilise un ustensile peu connu, assez moderne et extrêmement astucieux : Une coupelle en pyrex posée sur un support avec bougie chauffe-plat. Dans la coupelle, je peux y mettre ce que je veux, peu importe le grain, peu importe le conditionnement…
J’y mets de l’encens en grains, en blocs, en poudre : Tout s’y consume en grésillant ! (accessoirement j’économise un bloc de charbon, devenu inutile de fait)

C’est donc cette coupelle que j’avais égarée hier soir et, tandis que l’heure tournait, il me fallait dans la précipitation et l’angoisse retrouver la coupelle ou trouver une solution de rechange. Chose faite, mais il va me falloir commander un brûle-encens de substitution rapidement.

À cette occasion, je veux remercier dans ces lignes la boutique « La coupe des Fées », excellent magasin, achalandement impeccable, gentillesse et délicatesse proverbiales avec les clients, une tenue des délais remarquable, ce qui m’a permis de tenir parole auprès de l’une de mes requérantes hier soir :
BRA-VO À LA COUPE DES FÉES !

Maintenant, je voudrais expliquer ce qui me mettait tant la pression que ça hier soir…
Voilà, pour ceux qui lisent un peu mon blog, vous aurez remarqué que je suis fortement impliqué dans l’étude de l’Astrologie en ce moment…
Donc, je remets à l’honneur dans ma pratique l’utilisation des heures planétaires et des jours planétaires. À noter que ces heures et ces jours sont structurés symboliquement (à ma connaissance), mais ne reflètent pas l’état du ciel. D’où l’appétence de certains modernistes pour les approches linguistiques, qui expliquent à peu près scientifiquement les « phénomènes » symboliques.
C’est le cas notamment d’André Barbault, mêlant mythes grecs, astrologie et psychanalyse. « Dédé », comme nous l’appellerons par la suite, se dira en conséquence « tropicaliste », faisant fi de la précession des équinoxes…
Pour ma part, j’essaie de faire des rapprochements entre l’astrologie Jyotish et le travail de Cornélius Agrippa.

Donc, je m’étais fixé quelques objectifs magiques, et j’avais identifié des planètes signifiantes pour ces objectifs. Ensuite, naturellement vient la planification des opérations en conséquence . J’avais deux « fenêtres de tir » :

  • Une à 22h52 locale, pour l’heure de Saturne
  • La suivante à 23h38, pour l’heure de Jupiter

Ma journée s’est soudainement révélée très bien remplie, ayant fait de la route, mangé chez moi, j’ai démarré les travaux à 21h00. Là, il faut compter la mise en place de l’autel, ce qui nécessite de bouger un ou deux meubles, de râcler des tiroirs en quête de grimoires et d’accessoires.
Il faut également compter toute la rituélie d’ouverture qui, en Draconia, est très conséquente :

  • Une « Croix Draconique »
  • Un « Hexagramme Draconique »
  • L’ouverture aux quatre quartiers
  • L’Heptagramme Draconique

J’ai perdu du temps à chercher mon pyrex, comme expliqué plus haut. Donc 3/4 d’heures à mettre en place l’autel complet.
Puis la rituélie précédente : re-3/4 d’heure.
En comptant, on frôle le démarrage de l’Heure de Saturne.

Il ne faut pas oublier qu’en Draconia, on prend des consignes magiques, on se fait aider par les Dragons. Donc il y a une phase d’interrogation / voyance, qui peut être à la fois chronophage et énergivore en préparation des travaux magiques à suivre.
Hors rituélie Draconique, je détermine a priori mes objectifs de travail.
Une fois la rituélie lancée, je revisite mes objectifs pour les enrichir, les nettoyer ou les infléchir éventuellement.
Et en voyance, dans le cercle magique, je demande comment faire, jamais en dehors du cercle.

Je tiens à préciser à cette occasion que la Suprême Invocation Draconique de l’Heptagramme, que j’ai appelée « Heptagramme Draconique » ci-dessus, m’a permis de me rendre compte que les Dragons y prennent une autre apparence.
Lorsque je visualise un dragon dans la vie de tous les jours, il m’apparaît comme l’imagerie médiévale coutumière nous le présente, avec des écailles, des ailes, etc…Une fois que j’ai accompli l’Heptagramme Draconique hier soir, l’air s’est chargé d’énergie, et les images des Dragons ont changé. Ils apparaissent alors, toujours sous forme crypto-serpentine, mais entourés d’une magnifique aura, mouvante, colorée et chatoyante, qui révèle leur vraie nature spirituelle : Des êtres très expérimentés, capables de naviguer d’un Monde à l’autre, et indéfectiblement voués à la cause du Bien.

Donc, à un quart d’heure de démarrage de l’heure de Saturne, je n’avais toujours pas mon modus operandi ab Draconiā
Bref, hier soir, j’ai fait de la « sténo draconique » à vitesse grand V, avec des rituels d’une drôle de concision. Cela me semble montrer, en toute subjectivité, le très haut niveau technique et magique des Dragons…

Bref, j’ai dû faire un exorcisme, car on m’a (encore !) balancé du purin psychique sur la figure…

Ensuite, en deuxième objectif, je m’étais mis en tête d’exorciser un groupe humain que j’affectionne particulièrement, et dont je regrette qu’il « parte en sucette » comme j’ai pu le lire sur Internet.
C’est, sur le principe, une opération extrêmement risquée, car elle revient à la fois à une prise de position politique, et peut basculer dans la magie noire si elle ne s’avérait pas légitime.

Il s’agit des pèlerins d’Arès, dont on peut trouver quelques ressources dans les lignes qui suivent. Je pense sincèrement que si l’Islam et l’Islamophobie ne réduisent pas la France en cendres, cette toute petite religion pourrait un jour réconcilier Juifs, chrétiens et musulmans comme frères chaleureux et nous débarrasser sur le principe, le fond et la forme, des clergés quels qu’ils soient. Étant moi-même partiellement arabophone, je suis sensible à ces liens entre religions…
Arès était le Dieu de la Guerre chez les Grecs, mais aussi le nom d’une petite localité de Gironde, où il est dit que Dieu serait apparu à un homme, en expliquant à quel point Il était particulièrement Remonté comme un coucou contre l’Islamophobie, les Clergés qui ont sévi en Occident, et comment ceux-ci ont préparé l’arrivée de la Grande Finance, en semant le désarroi et en le monétisant.
Il aurait expliqué à cet homme que le coup des « valeurs chrétiennes de l’Occident » est un mensonge de ces Clergés, qu’il faut abolir, parfois au prix d’un courage osé et risqué.
Du point de vue spirituel, Il réintroduit curieusement certains concepts égyptiens, notamment le « Khâ » (prononcer un « R » râclé à la manière arabe) ; il ne s’agit pas du « Kâ » mais bien du « Khâ »… Dans la révélation d’Arès, ce concept est le « Ha », c’est-à-dire un embryon d’Âme supérieure qui se gagne par le travail spirituel personnel, ce que les musulmans ont originellement appelé le « Djihad ».
Chez les Égyptiens, le « Khâ » était symbolisé par « Horus », le faucon, sorte de psychopompe de lumière faisant le lien-navette entre la personnalité terrestre (« Seth ») et la personnalité spirituelle dormante (« Osiris »).

Je vous laisse lire la suite, je me tais… :

Sur Wikipédia, vous trouverez les polémiques qui ont éclaboussé les communautés humaines autour de la Parole d’Arès, et certaines options politiques du Frère Michel me font tout simplement bondir.
Par rapport à ces points, je me suis décidé à aider magiquement ces petits groupes, même s’ils ne m’ont rien demandé, afin de « laver » les égrégores de ces communautés car j’ai appris ce qu’il peut se passer dans un travail de groupe, de par mon expérience maçonnique.
Le travail envisagé, était donc d’abord un travail saturnien, puis consolidé sur place par un travail plus mercuriel ou kéthérique, c’est-à-dire aider ces groupes à retrouver l’inspiration et l’intuition qui permettent de faire l’économie de ces détails insidieux, de ces problèmes pernicieux…

J’ai donc d’abord reçu une invocation « ad’hoc », dont le résultat et le ressenti m’ont aussitôt mis en contact avec les communautés, en particulier avec le Frère Michel, manifestement en train de dormir.
Silence…
Puis j’ai proféré l’invocation d’exorcisme du groupe, telle que décrite dans mon livre, avec la tablette de Nalvage (Corpus Omnium).
Grosse réaction, fort agréable du reste…On verra bien ce que ça donne, car je n’ai pas réfléchi à la manière de vérifier les effets d’un tel travail…

J’ai continué sur un travail de Terre, avec de la Manne, qui ressemble à du sucre glace. Les entités terrestres que j’ai contactées n’avaient rien de lourd, de « chtoniens » comme on dit. Plutôt de sacrés commerçants, enjoués et intelligents…
Ces entités m’ont bien intimés, à cette occasion, que l’une de mes cousines « A. », devait impérativement d’abord rembourser ses dettes avant de demander autre chose, car des ressources lui avaient déjà été allouées par les forces de la Terre.
Les « gnomes » n’aiment pas le gaspillage ! Du point de vue terrestre, les investissements et les transactions doivent toujours être responsables…Les crédits toxiques, les systèmes antiécologiques, dehors ! Ce ne sont pas les forces de la Terre qui cautionneraient de telles horreurs !
C’est donc bien à l’être humain de travailler son rapport à la Terre, à l’argent pour gérer correctement ses ressources. Ça va être dur, mais que ça va être dur…!

Voilà, fin des travaux, je vous laisse, il fait beau…
A+,
Hiramash

On tambourine à la Porte...

En début d’année 2016, j’ai pris la décision de me faire aider par un psychiatre, car je suis (encore) au tribunal pour régler une affaire douloureuse.
Il m’a proposé un travail ne reposant pas, à ma grande surprise, sur la parole uniquement.

Ainsi ai-je eu droit à de l’homéopathie « frénétique » (trois tubes par jour) ainsi qu’à une étrange technique dont je vais parler dans les lignes qui suivent…

Mettant un casque sur la tête, j’écoute des sons, qui ressemblent à du souffle, ainsi qu’à des impacts de billes sur une planche en bois. Puis j’ai l’impression d’entendre un verre que l’on fait « siffler ».
Tout cela, bien que raconté de manière laconique sur ce site, en fait est très lent, presque lourd. En tout cas, c’est envoûtant et lors des séances en cabinet, j’ai failli m’endormir.

Je me souviens même d’un passage ou des sensations ont ressurgi, lorsque j’avais de la fièvre gamin, parfois à plus de 40°. Dans ces cas, j’avais l’impression de gonfler de partout depuis l’intérieur, et de peser 2 tonnes. C’était extrêmement angoissant. C’est exactement ce que j’ai ressenti il y a quelques mois dans le cabinet du docteur, casque sur les oreilles.

J’ai pris mon courage à deux mains, et j’ai laissé venir cette sensation, je l’ai laissée passée. Quelle victoire de découvrir que j’ai pu m’en débarrasser définitivement !! Alors, après ?
Hé bien, j’ai eu une sorte de « rêve light », ce qu’il faut bien appeler une vision…

Je me suis vu dans une mangrove, une forêt tropicale immergée. Glissant sur une pirogue, j’épie les sons autour de moi, j’entends des animaux qui grognent sur les berges et sur les grosses racines émergées, comme d’invisibles perroquets, quelques lézards ou espèces autochtones comme on en voit dans les documentaires télévisés.
Ce jour-là, je crois que j’ai vraiment eu des hallucinations auditives…

J’ai plus tard appris, que la sensation de « fièvre » est caractéristique du début d’une expérience chamanique ! Ce n’est que hier, que par un étrange hasard que j’ai tout aussi étrangement oublié (pourtant ce n’est que hier), que j’ai (re)découvert les sons chamaniques.

Là, il ne s’agit pas de musique électronique comme je peux l’affectionner, mais de véritable tambour chamanique…Et en plus, les artistes percussionnistes utilisent des sons issus de la neurotechnique, la technique sonore que j’ai découverte chez le praticien…
À propos de percussions, je précise que jusqu’à fin juillet, il y a sur le site du Parc Floral à Paris un atelier de percussions pour les petits et les grands. Sur le chemin vers le Théâtre de Guignol, entre le Théâtre et la Bibliothèque…
J’y ai reconnu certains sons de ce qui va suivre, notamment la crécelle faite de coquillages !

Je vous présente donc le travail chamanique mêlé aux sons binauraux « Hemi-sync » qui me font vraiment du bien ces temps-ci :

  • Je recommande de l’écouter dans un casque stéréo, sinon la binauralité ne fonctionne pas
  • Il existe un logiciel open-source qui permet de jouer avec de tels sons, même si je ne suis pas compétent pour créer les miens : « Gnaural binaural beat generator »
  • Et le travail chamanique subséquent :

Par ailleurs, je précise que ma cousine M. a utilisé l’une des techniques hénokéennes de mon livre. Elle entendait des bruits de pas et des coups sur les murs, comme un phénomène paranormal, lorsqu’elle a emménagé dans son nouvel appartement.
Je lui ai précisé que certainement les anciens locataires ont laissé quelque chose de douloureux de leur ancienne vie. Il faut le nettoyer.

Je lui ai donc suggéré d’utiliser l’exorcisme de la maisonnée, comme décrit dans mon livre…

Elle l’a fait elle-même et, miracle, tout s’est arrêté  !

A+,
Hiramash.

Ethnologie et anthropologie des mathématiques

Comment les magiciens de l’Antiquité et du Moyen-Âge théorisaient-ils le Nombre ?
À la manière de Bourbaki, par le structuralisme ?
Le divinisaient-ils ?

Peut-on enseigner les mathématiques de la même manière dans le monde entier ?
Les difficultés à l’apprentissage des mathématiques, dont s’occupent les orthophonistes, sont-elles liées en partie, exclusivement au contexte culturel ?

Je pense qu’une partie des réponses se trouvent dans le lien suivant :
L’Ethnomathématique

Arakhnê et la ceinture d'astéroïdes

Intéressé ces temps-ci par l’astrologie, je fais quelques découvertes d’importance comme :

  • l’astrologie uranienne faisant la promotion de l’analyse harmonique des aspects en se focalisant sur les multiples de 2 : la conjonction, l’opposition, le carré, le demi-carré, (le carré et demi), etc…Il y aurait beaucoup à dire sur cette astrologie particulièrement futée, et en harmonie mathématique et structurelle avec:

    • l’astrologie Jyotish (« vargas » et points fictifs pour la réincarnation)
    • la tradition chinoise(selon moi, résonance avec les trigrammes et les hexagrammes dont la combinatoire est aussi une puissance de deux)
    • la géomancie, également avatar d’une puissance de deux et d’une domification en 12 maisons, et historiquement reliée au Yi-king (je sais, ça se discute) par le « Goral ».
  • L’Octotope, ou méthode pré-ptolémaïque, divisant le lieu de naissance en huit maisons repérées par la « Rose des Vents ». La méthode de calcul de l’ascendant et du milieu du ciel permettent d’envisager une domification quel que soit le lieu de naissance, c’est-à-dire qu’un Lapon né au-delà du cercle polaire arctique pourra espérer avoir un thème domifié au même titre qu’un Amazonien en zone équatoriale. Ce qui n’est pas le cas avec Placidus.

En revanche, zéro pointé pour l’introduction des « trans-neptuniennes » par l’astrologie uranienne. Ça sort d’où, ça  ?? Au moins, les points fictifs, on sait qu’ils sont fictifs, et que la géométrie de leurs trajectoires dépend de la perfection théorique des corps réels dont ils dépendent, d’où les notions de position vraie et moyenne (ce qui tendrait à suggérer que les astres réels, dans leurs imperfections, possèdent une vie animiste propre).
Hé bien, je trouve que les points fictifs sont plus réels que ces « transneptuniennes ». Je commence à découvrir le principe de base de l’Astrologie, au moins occidentale : « Tu veux en savoir plus ? Tu veux des outils intégrant des méthodes historiquement et mathématiquement plus fiables ? Tu n’as qu’à payer !! »

Que les astrologues ne viennent surtout pas pleurer sur leur sort dans la presse. De toute manière, se plaindre d’être peu nombreux, mal compris, détenteurs de secrets et de pouvoirs, est leur fin plaisir. L’état de leurs outils est leur seule vitrine, et objectivement après examen de ces outils, ils ont ce qu’ils méritent.
Des théories unificatrices et explicatives de l’astrologie pourraient exister, et la rendre diffusable au plus grand nombre. Mais ce n’est pas le but, et que cet Art respectable soit terni par une mauvaise réputation arrange vraiment, cyniquement tout le monde.

Maintenant, quand je vois les groupes américanisants ou autres, qui récupèrent les théories jungiennes pour pratiquer la magie noire à tour de bras en expliquant que les oppositions blanc noir ne sont que des contingences du psychisme humain, je peux aussi comprendre que l’on cherche collectivement à défendre par le secret et le brouillard le fonds des connaissances astrologiques.

Voilà, il existe quelques très bons outils gratuits, que je ne pourrais malheureusement pas citer sur ce blog…Au vu de tout ce que je viens de dire, je pense que cela est justifié, mais cela justifie aussi le fait que l’Astrologie est un art, pas une science. De toute manière, l’art est plus humain que la science, que chacun se console ainsi…

Tout ça pour dire que les trans-neptuniennes ayant quitté mon psychisme aussi vite qu’elles y sont arrivées, je voulais trouver autre chose d’approchant : Les Astéroïdes !
Sacré bon sang, c’est extrêmement difficile à exploiter, mais c’est particulièrement prometteur, il suffit de jeter un coup d’œil aux astéroïdes « Jung » et « Freud » pour s’apercevoir que ces cailloux astrologiques ouvrent des espaces de signification insoupçonnés, d’une précision redoutable…

Un astéroïde en particulier a attiré mon attention : Arakhnê
Sa définition astrologique est :

L’orgueil d’être capable de comprendre et manier des choses ou situations compliquées aux multiples ramifications. Création d’intrigues et d’imbroglios ; piège ; contacts avec le tissage, les araignées, les toiles d’araignées ; compétitions impliquant des talents intellectuels.

La légende grecque qui lui est attachée est (source Wikipédia) :

Intriguée par la grande réputation d’Arachné une descendante de Minerve , celle-ci se déguisa en vieille femme pour rendre visite à la jeune tisseuse et observer son magnifique travail. Arachné prétendit devant la déesse qu’elle était la meilleure tisseuse du monde, meilleure que Minerve elle-même. La déesse entra alors dans une grande colère en constatant qu’une simple mortelle pouvait prétendre être aussi adroite qu’elle. Elle révéla à Arachné sa véritable identité et organisa un concours avec la jeune femme. Minerve illustra sur sa toile les divers dieux de l’Olympe tandis qu’Arachné préféra tisser Zeus avec ses nombreuses amantes. Ce fut finalement la fille de Lydie qui gagna. Furieuse, Athéna déchira l’ouvrage d’Arachné et alla tuer la famille de celle -ci. Humiliée, Arachné alla se pendre. La déesse, prise de remords, décida d’offrir une seconde vie à Arachné : elle la changea en araignée suspendue à son fil, pour qu’elle puisse à nouveau tisser sa toile.

Or, peu de temps après, j’ai réalisé qu’il y avait un lien avec le système Hénokéen…
Dans le sous-système « QVYD » de Marid Audran (dont le vrai nom est « Carlos Castillo »), il y est question d’un esprit gardien de la ceinture d’astéroïdes, il a la forme d’une araignée gigantesque !
Voici le Wiki hénokéen où se trouve l’esprit en question :
http://enochian.wikia.com/wiki/Enochian_Wiki

Bonne lecture, bonne analyse pour les plus courageux et les plus inspirés,
A+,
Hiramash.

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