Oups !

Bonsoir à tous,

Alors, c'est l'histoire d'un gars dont le nom spirituel est « Hiramash », et qui part en vacances une semaine sur les plages qui bordent l'Estérel, dans le Sud-Est de la France, avec son fils de 10 ans…

Plus exactement, du côté de Saint-Raphaël (le nom de la ville est déjà tout un programme !), une petite entreprise regroupe quelques guides qui emmènent les touristes marcher dans la garrigue, le long de petites calanques d'origine volcanique, couleur brique.

La promenade promet d'être bucolique, il fait beau, et les troncs de pins parasols surchauffés dégagent une odeur balsamique. Nous avons tous mis nos maillots de bains sous nos vêtements, et pour l'occasion j'ai loué des chaussons de nage, pensant que cela serait mieux. Cela fut toutefois un peu inconfortable pendant la marche, car l'on ressent plus les racines et les cailloux. En revanche, lors de la baignade qui va suivre, ça a été un avantage indéniable.
Dans le groupe, nous sommes deux familles, mon fils et moi, ainsi qu'un couple de normands avec leur 2 enfants.

Les conditions de vente du circuit précisent bien que l'on a la possibilité par endroit, et sous surveillance du guide, de grimper sur les mini-falaises et de plonger, mais rien ne nous y oblige.

Après avoir préparé nos affaires pour la randonnée spéciale qui va suivre, nous mettons dans le caisson étanche tout ce qui craint l'eau : les papiers, les portables et autres objets fragiles. Le guide a son caisson étanche, mais également un sac à dos étanche, très curieux d'aspect. Le sac est prévu pour aller dans l'eau, on peut plonger avec ; à l'évidence, il est également prévu pour flotter…

Le parcours prévoit plusieurs sauts dans l'eau, ainsi que des bouts d'excursion pédestres tantôt dans la garrigue, tantôt sur cette roche volcanique rougeâtre qui s'avance loin dans la mer. Le premier plongeon sera fait dans un « fjord », et encore c'est un bien grand mot. Ce sont deux petites falaises (pas plus d'une dizaine de mètres) qui se font face à face, pour une largeur permettant tout juste de laisser passer un bateau pneumatique. Au fond de cette « crique », il y a une grotte immergée, appelée la « grotte des secrets »…Tout un programme !
Sous l'eau, cristalline et aux reflets bleutés, on voit que les parois rocheuses continuent de descendre sur plusieurs mètres. C'est assez impressionnant…Le guide nous fait descendre jusqu'au bord de l'eau, en bas de la paroi. Gentiment, nous nous mettons à l'eau, avec ou sans vêtements d'ailleurs.

Surprise, elle est fraîche ! Il nous faudra tous quelques minutes pour nous habituer. L'expérience est réellement puissante, la mer est un petit peu houleuse, avec un mouvement amplifié par une sorte « d'effet clapotis » contre la grotte immergée un peu plus loin, plongée dans l'obscurité. Nous ne sommes pourtant qu'à la moitié d'une matinée particulièrement ensoleillée, ce qui rend la scène encore plus impressionnante. Sous nos pieds, ce que je pense être l'Abysse sans fond…Une vieille peur…

Soudain, comme une intuition, en plein milieu de l'eau, je me prends à penser aux techniques spirituelles apprises chez Oviloroi. Beaucoup plus légères qu'une magie cérémonielle, elles se rapprochent du druidisme et du chamanisme, sans en être vraiment. Elles ont l'avantage d'être très discrètes. Donc, dans l'eau, je décide d'appeler des « Présences »…

J'appelle « Mère Divine », ainsi que la Déesse de la Houle ; celle-ci est identifiée à la déesse indienne de la Danse. On voit bien la métaphore du bouchon de liège qui « danse sur la houle »…
Je ressens l'arrivée de Mère Divine comme un soulagement. Aussitôt la peur des « choses au fond de l'eau » s'évanouit mystérieusement ; j'ai également aussitôt l'intuition que cette peur est sans doute liée à une mémoire de nourrisson, au moment où la poche des eaux se rompt, et que le bébé a l'impression d'être « aspiré au fond », pour en fait « sortir au jour » (comme aurait dit un fameux livre égyptien…). L'espèce de monstre qui devait « m'attraper les pieds » au fond de l'eau, ça doit être la sage-femme !
Toutes mes excuses si elle lit ce blog !!

Je ressens la présence de la Déesse de la Houle, mais c'est moins marqué…En revanche, par la suite…Mais continuons notre récit de vacances.

Dans l'eau, je me retourne, et décide de nager jusqu'à la grotte immergée. Le guide nous a dit qu'elle s'appelle la « Grotte des Secrets ». Tandis que j'avance en nageant, la houle se fait de plus en plus marquée, sans doute par un effet de « clapotis ».
Soudain, dans mon esprit, j'entends « Stop ! Arrête-toi et ne va pas plus loin ! ». Reconnaissant une présence familière, je suis l'injonction avec confiance.

Alors, dans l'eau, je reviens sur mes pas, et remonte sur le bord pour quelques plongeons avec les autres, avant de reprendre la randonnée terrestre. Ces reliefs rougeâtres d'origine volcanique me font penser à des collines de pierre, tailladées comme on taillade le sommet d'un pain de campagne avant de le mettre au four, et dont les pieds tremperaient dans l'eau. C'est magnifique !

Bientôt, nous arrivons de l'autre côté de la colline de roche, qui se trouve être au bord d'une petite crique. Nous devons traverser à la nage pour aller sur l'autre bord. Tout le long de la randonnée, une accompagnatrice nous suit en kayak pour assurer notre sécurité.

Tous, nous plongeons les uns après les autres avec confiance, en suivant le guide. C'est un peu impressionnant, mais c'est aussi l'intérêt de l'activité. Alors que nous approchons de l'autre bord, une houle se lève…Le guide le premier essaie d'attraper le rivage, sans succès, balloté par les vagues. Une anxiété dans l'eau parcours toute l'équipe, alors que la houle fait monter et descendre le niveau de l'eau sur les rochers sur une hauteur d'environ un mètre cinquante.
C'est vraiment impressionnant, et la maman du groupe commence à nager à côté de son petit, tandis que je fais de même avec mon fils. Le guide réitère sa tentative d'amarrage au rocher, et après avoir lâché un juron qui ne manque pas de nous rassurer sur la situation (!), parvient finalement à attraper une aspérité de la roche comme un grimpeur désespéré.

Il attrape alors mon fils par le bras, et le tire hors de l'eau. En fait, non, il ne le tire pas, il le jette sur le plat de la roche plus haut, avec un mouvement qui ressemble plutôt à un lancer de marteau olympique qu'à une opération de sauvetage…! Dans le mouvement, le guide pousse un râle similaire à l'haltérophile qui arrache sa barre au sol… Mon gamin atterrit plus qu'il n'est hissé, et se fait une égratignure sur les côtes, un peu douloureuse mais sans plus de mal.

Les trois enfants (deux normands et le mien) ont froid, le guide s'en occupe bien. Il les met à l'abri, avec une couverture, tandis que nous pouvons plonger encore sur une autre mini-crique. Quelques photos et vidéos sont prises, ce sera une belle réussite. Avant la mésaventure de la traversée houleuse, quelques beaux sauts dans l'eau seront commentés par des vacanciers de passage en bateau.

Nous revenons tranquillement en randonnée pédestre jusqu'au petit port de départ. Tout le long du trajet, le guide n'aura de cesse de dire à qui veut l'entendre que c'est la première fois en quatre ans qu'il a de la houle exactement à cet endroit et à ce moment…
« Tu te rends compte – dit-il à son collègue resté au port – on a eu de la houle exactement au moment où on devait ressortir de l'eau ! Dix secondes avant, il n'y avait rien ! Sans doute un bateau est-il passé, on a reçu la vague d'étrave…? »

Pour ma part, je ne me souviens pas avoir vu passer un bateau assez gros et assez rapide laissant une vague d'étrave…En revanche je me souviens avoir appelé la Déesse de la Houle, Benthésicymé, appelée Sarasvati chez les hindous.

Oups !

A+,
Hiramash.

La progression de la biodynamie

Bonjour à tous,

Il y a quelques temps déjà, je vous signalais que certains viticulteurs faisaient des expériences pour modifier le goût de leur vin en utilisant les propriétés énergétiques des menhirs, (ici)

Hé bien…Cela va désormais beaucoup plus loin, car de grands viticulteurs (j’ai en tête Château Laffitte pour ne pas les dénoncer) utilisent désormais des considérations tirées de la biodynamie de Rudolf Steiner, pour soigner leur vigne et lui donner plus de minéralité et plus de fraîcheur.

J’ai eu l’honneur de découvrir l’un de ces curieux vins, dans la région de Cuers-Pierrefeu : Je vous recommande donc le « Souffle de l’Ange » de chez Kennel (à boire avec modération) :
https://www.vignoble-kennel.com/vins-en-bio-dynamie/77-le-souffle-de-l-ange-rose-2020.html

La biodynamie, c’est le fait d’utiliser des décoctions végétales ou minérales pour soigner la vigne, et suivre le rythme des planètes pour choisir les moments pour intervenir. Ce n’est pas que le rythme de la Lune, mais bien l’ensemble des planètes qui est pris en considération.

Pour ma part, je suis stupéfait que les viticulteurs aient osé de telles méthodes. Chapeau bas !
Ce qui est encore plus fort, c’est qu’il est démontré scientifiquement par l’institut national de la recherche agronomique que si les feuilles de vigne « biodynamiques » sont plus jaunes que celles gavées de produits chimiques, en revanche elles ont une immunité plus puissante :
https://agrilor.fr/defenses-naturelles-plus-importantes-de-la-vigne-en-biodynamie-2/

On trouvera, bien évidemment, des traces de polémique, d’une part sur la qualité de la vinification en biodynamie (voir la saillie de Michel Onfray), d’autre part sur le bien-fondé des théories de Rudolf Steiner. Je vous laisse chercher et vous faire une opinion.

Bonne dégustation, et si vous commencez à voir Dionysos, il faut arrêter…
A+,
Hiramash.

Swedenborg nous fait grincer des dents…

…Je viens de découvrir les écrits de Swedenborg, surnommé « le Bouddha du Nord » par un spécialiste japonais.
Il a écrit, entre autres choses, un livre sur les correspondances entre le corps humain et les nuées célestes, si j’ose dire.

Ça pourrait servir, même s’il existe des livres de correspondance plus fins, notamment ceux d’Odoul pour détecter la nature du mal spirituel et émotionnel d’après la forme et la place de la maladie sur le corps.

En particulier, cet extrait-ci me paraît très contemporain, en ces temps de résurgence simultanée du conspirationnisme, du scepticisme et du conservatisme :
- http://livres-mystiques.com/partieTEXTES/Swedenborg/Correpond/chapit14.html

A+,
Hiramash.

QAnon, le « re-homing », le roman familial…

Bonjour à tous,

Je me permets d’écrire un petit article pour vous signaler un lien intellectuel qui me semble pertinent entre le mouvement QAnon (et le complotisme en général) et le « re-homing ».
Je pense que du point de vue de l’enfant ou de l’adulte, la recherche d’une « personne idéale » peut devenir carrément dangereuse. Que ce soit l’enfant idéal, la famille idéale, le pays idéal…

De ce point de vue, cela rejoint le « roman familial » des théories psychanalytiques. Il semblerait que certains romans familiaux puissent être traités énergétiquement en allant chercher du côté à la fois des ancêtres et du karma…

A+,
Hiramash.

Le nombre radiant

Aussi appelé nombre plastique, il est cité par Toni Céron comme nombre de l’œuvre au rouge, alors que le nombre d’or serait lié à l’œuvre au blanc :
- le nombre radiant (plastique)

Le bahir et la baraita de Samuel

Bonjour à tous,

En cherchant depuis un texte de VIncent Bridges à propos d’Hendaye, j’ai découvert que la constellation de Draco est appelé en Hébreu « Teli », et qu’elle devient triple, en lien d’une part avec les 3 piliers de l’Arbre de Vie, en lien d’autre part avec les trois axes de rotation mentionnnés dans le Bahir (Galaxie, planète, Cœur de l’Homme).

Cela a à voir avec la précession des équinoxes, et le fait que la constellation de Draco parcourt tout le zodiaque.
De plus, le Bahir associe 36 esprits à ces axes (3 x 12), en liant au passage les 12 constellations à 12 arêtes d’un cube imaginaire, dit « Cube de l’Espace ».
Bridges relie le cube de l’espace avec la Kaaba et l’Arbre de Vie de la Kabbale.

Par ailleurs, les égyptiens avaient développé une astronomie fondée sur les décans (36 sur le zodiaque) et l’exploitation des levers d’étoiles sur ces décans, comme moyen d’explorer les constellations hors zodiaque. Nous avons également de fortes suspicions, déjà mentionnées sur ce blog, que les égyptiens connaissaient le mécanisme des éclipses et de la précession des équinoxes.

Cela nous ramène à la « Baraita de Samuel », ici.

Je ressens que cet ouvrage doit être l’une des rares traces de l’héritage égyptien aux hébreux. Donc, un reste d’astrologie égyptienne.

Enfin, il y a des cubes dans différents symbolismes, que ce soit la pierre philosophale, le cube de l’espace ou la recherche d’une sorte d’hypercube / tesseract sur les tablettes hénokéennes. Je ne suis pas sûr qu’il faille les identifier entre eux.

A+,
Hiramash.

Rose+Croix et John Dee

Le lien entre John Dee et Rose+Croix, dans le manuscrit « Harleian » :
« Rosie Crucian Secrets »

A+,
Hiramash.

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