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Numéro d'enregistrement : 00041985
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"Le fait de voir quelqu'un en train de lire suscite en mon esprit une curieuse métonymie où l'identité du lecteur prend la couleur du livre et celle du cadre dans lequel il est lu."
[ Une histoire de la lecture (1996) ].- Alberto Manguel

le theme astral de naissance de Hiramash

Sommaire


Hiramash, le pseudonyme

La description du présent site s'écrit en ces termes :
Ce site traite de deux sujets a priori incompatibles : la science d'une part, la magie et l'ésotérisme d'autre part. L'ensemble du site a été conçu dans le souci de transmettre des connaissances puissantes, claires et exploitables.

Quelques explications sur ma démarche sont donc nécessaires...
Je me présente sur ce site sous le nom d'Hiramash. Après tout, j'aurais pu jouer carte sur table et me présenter sous mon état-civil, ce qui m'aurait permis de dire plus de choses sur mes centres d'intérêts, mes découvertes, etc...Toutefois, je n'ai pas "pris" ce pseudonyme au hasard et il a une valeur affective pour moi.
De plus, et j'imagine que vous le comprendrez en parcourant ce site, je souhaite que les gens s'intéressent plus :
Malheureusement, j'ai remarqué à quel point on ne porte crédit à ce que vous dites qu'en fonction de ce que vous êtes. Ce fait, presque scientifique, va si loin qu'il légitime la notion d'autorité morale et de pouvoir de prescription que détient l'expert.
Ainsi un marginal, un sectaire, un intégriste, une femme de ménage, une simple coiffeuse pourront avancer des discours, des expériences, des constatations issues de leur vie quotidienne qui pourront sembler d'une banalité consternante. Ces mêmes connaissances, reformulées dans un registre autrement plus soutenu et spécialisé, deviennent des philosophies de choc, des révélations, des travaux intellectuels créés et manipulables uniquement par des personnes qualifiées et certifiées.

J'ai découvert récemment que les publications scientifiques doivent passer par un comité de lecture certifié et agréé, dans un microcosme où tout le monde se connaît.
Je dois avouer que j'en suis particulièrement choqué, car je ne vois pas la différence entre les structures administratives des églises et les structures plus ou moins formelles du monde scientifique.
Finalement, la science, la religion et bien d'autres sujets de société ne font que donner une autorisation pour être intégré et accepté dans une société.
La science est-elle triomphante ? Montre-t-elle à quel point les civilisations passées se sont couvertes de ridicule à se fourvoyer dans leurs religions et superstitions ? Apporte-t-elle la "lumière" comme tant d'autres grands libérateurs en ordre de marche ? Qu'à cela ne tienne, soyons "scientifiques".

La religion fustige-t-elle la légèreté, le laxisme, l'irresponsabilité morale des familles occidentales ? Joue-t-elle les Cassandre sur l'avenir et le bien-être de la société à grands renforts de débats ? Demande-t-elle avec angoisse ce que vaut la dignité humaine si des hommes s'abaissent à être moins virils, moins dominateurs ? et les femmes alors, on n'en parle pas, comment cela se fait ? Qu'à cela ne tienne, soyons religieux, soyons intransigeants, soyons libérés de la culpabilité.

Les groupes féministes, ou plus simplement quelques épouses revanchardes malmenées par les souffrances de la vie, le rapport freudien à "papa", les frustrations et les corps vieillissants, posant de vertigineuses questions sur le rapport à la sexualité et la fidélité, en bref on trouve à boire et à manger dans les groupes humains. Ce qu'on y trouve laisse rarement indifférent, car curieusement cela touche les corps et les intimités.

Par ailleurs, j'ai le sentiment bizarre que l'ensemble des problèmes de société suit des motifs, des patterns (terme anglais venant du vieux français "patron de couture"), quels que soient les époques et les lieux, comme si l'on répétait inlassablement et compulsivement la même tragédie sous des civilisations différentes pour se donner des chances de la résoudre un jour.

Mon sigil personnel réalisé par Kazim

Alors ? Quel est le rapport à mon pseudonyme ? Hé bin c'est bien simple : cher visiteur, tu es tombé sur le site d'un "cinglé", enfin disons un doux rêveur. Non, non, pas le genre de "cinglé" parfaitement identifié, qui prend position contre la science systématiquement.

Il y a une histoire drôle que se racontent les mathématiciens :
Il y a deux catégories de gens dans le monde: la première, de ceux qui croient que le monde est divisé en deux catégories, et puis il y a les autres...
Je te raconte cette histoire pour que tu sentes le genre de personnage que je suis : Ni ceci, ni cela...J'ai probablement la présomption et l'outrecuidance de mélanger les genres, de penser que la vie intérieure peut influencer le monde extérieur (et réciproquement), de joindre l'art à la technique, la science à la Magie, le concret au mystique, sans vergogne et sans états d'âme, ne m'arrêtant que si je constate une souffrance créée ou une stérilité apportée par la démarche.

Ainsi donc, cher lecteur, privé que tu seras de mon identité, tu ne pourras te focaliser au pire que sur une idée, une projection, des souvenirs invoqués, et au mieux tu écouteras, dans un silence quasi-funèbre, ce que j'ai à dire : ça pourrait en valoir la peine. Libre à toi de le digérer ou de le recracher...

Bon courage pour la suite et bon appétit quand même.

Expérience ratée de Wikipédia

Le titre est un peu violent, n'est-ce pas ? C'est pourtant ainsi que j'interprète mon expérience sur Wikipédia depuis mai 2006. J'y ai ouvert un compte sous mon pseudonyme préféré, et depuis mai 2006 et sans discontinuer, je n'ai eu que des bâtons dans les roues pour faire un article sur "énochien". A deux reprises, j'ai eu droit à un bandeau de non-neutralité. Puis j'ai proposé l'article à la labellisation de qualité, et là j'ai eu droit à une opposition systématique de principe, frisant souvent l'insolence et le manque de respect au regard de ce que j'ai appris et pratiqué, sur l'existence même de l'article.

C'est bien ça : c'est le fait-même de parler avec érudition d'une certaine forme de Magie qui a véritablement provoqué un tollé. D'aventure, et par principe LA MAGIE N'EXISTE PAS pour certains, et ceux-là partiraient volontiers en croisade contre l'irrationnel s'ils le pouvaient. Je n'ai jamais vu ça, un tel empressement et une telle férocité à piétiner les rêves des gens...

Bien entendu, le discours scientifique qui justifie la méthode n'est qu'un prétexte, mais ce qui est "piquant" dans cette affaire, c'est pourquoi une telle opposition ? a priori, le sujet "énochien" n'est pas très connu, en aviez-vous entendu parler avant d'arriver sur ce site ?


Tant d'efforts et de travail souillés par ce que je qualifierais de "vindicte des élites" m'ont conduit à faire une extraction de l'article hors de Wikipédia et le mettre sur ce site pour que personne n'y touche. Mettre des commentaires : très bien. Je prépare à ce sujet un livre d'or ou un système quelconque de commentaires.

Le plus ahurissant dans cette affaire est que les anglophones sont autrement plus prolixes, efficaces et pragmatiques sur les sujets de l'occultisme que nous autres de culture latine. Il n'y a aucune polémique de cette espèce sur le sujet. Par contraste, je trouve qu'en France nous avons une mentalité comparable au Stalinisme : tout est catégorisé et cloisonné avec une certaine violence morale. Je serais tenté de dire qu'avec les gens d'Outre-Manche et Outre-Atlantique, on atteint un niveau de compétence qui devrait faire rougir plus d'un clergé ou d'une société initiatique en Europe.

Ainsi donc, je reconnais mon propre manque de connaissances sur la société qui m'a vu naître, et j'ai sous-estimé la difficulté à diffuser des connaissances, quelles qu'elles soient, qui sortiraient de la ligne orthodoxe du Parti. En l'état, il serait difficile de nommer et montrer du doigt un quelconque parti; je pense qu'il s'agit plutôt d'un amoncellement d'habitudes sociales et intellectuelles, issues des vestiges des guerres passées. Ces vestiges, intellectuels ou physiques, concernent tous les domaines : l'intellect, la foi, l'argent, la sexualité, le couple, les enfants, l'éducation, la créativité, l'ordre, le rapport aux étrangers...Il n'y a pas un seul domaine pour lequel nous ne pourrions citer un événement historique ayant laissé des traces dans la mémoire collective dans le sens d'un échec, d'un traumatisme, et conséquemment d'une prise de position visant à la sécurité.

Je me pose désormais la question de l'acquisition des connaissances, du rapport à la nouveauté, à ce qui dérange, qui perturbe. Faut-il suivre la tradition ou la modernité ? J'ai un rapport particulier à la connaissance, et qui plus est, je pense que les moyens d'acquérir des connaissances sont tout simplement eux-mêmes des connaissances d'un genre particulier. Il faut donc s'attendre à ce que le niveau de connaissances augmentant, les méthodes pour l'acquérir changent également. C'est pourquoi désormais je refuse ces guerres de clans qui me semblent plus idéologiques qu'efficaces.

Ainsi je crois que la majorité de l'énergie dépensée par une société à vivre au quotidien, à faire de la politique, de l'économie, etc., traduit en fait l'effort que cette société déploie pour affronter la peur du changement, et le changement lui-même. Le frein qui s'y oppose vient généralement du passé, en particulier des valeurs religieuses dont je prends conscience de jour en jour au fil de mes études personnelles.



C'est là qu'intervient la tradition spirituelle de l'humanité : Combien de grandes figures du mysticisme international, je veux parler de Jésus, de Bouddha, de Confucius, et de bien d'autres considérés comme des illuminés, combien de ces gens ont martelé quelques principes simples et arboré des comportements qui n'ont rien à voir avec ce qu'on leur fait dire par la torture de l'exégèse post-mortem :

Formation ingénierie et mathématique

Très curieusement et probablement à ta surprise, lecteur, je suis de formation scientifique. J'ai appris à douter de tout, en particulier de la science et du doute. Amusant, non ?
Je t'ai déjà fait le coup dans cet article à deux reprises, j'applique le contenu d'une information sur la nature même du contenant, un peu comme un serpent qui se mord la queue. Les Grecs appelaient cela "l'Ouroboros", symbole de l'éternité, des cycles de transformation, et de l'Océan infini qui précéda les Dieux, fussent-ils païens, juifs, chrétiens ou hindous.


Il suffit de contempler l'Ouroboros pour comprendre que la nature de l'intellect ne peut que conduire à des chaînes d'événements interminables : débats, conflits, etc...

C'est pourquoi je considère aujourd'hui la science comme un outil, quelque chose d'utile auquel je ne sacrifierai pas mon caractère, ma vie, mes désirs et mes projets.
C'est l'acception anglosaxonne de la science : c'est quelque chose d'utile, alors que les pays de tradition latine considèrent que Tout doit passer sous les fourches caudines de la Science...Si ce n'est pas de l'orgueil...De même que les églises refusent le relativisme et considèrent que Tout doit passer...
Revenons à nos études : J'ai fait pas mal de mathématiques pour réussir mon parcours professionnel, et je suis diplômé ingénieur d'une école d'état que je ne préciserais pas ici.

Débarrassé des obligations sociales et scolaires, c'est-à-dire celles qui remplissent mon assiette le midi, je peux enfin me payer le luxe d'apprendre sans motif, par goût de la connaissance et tous azimuths, cherchant des choses utiles.

Quelle surprise de constater que la majorité (90%) des connaissances dispensées dans les établissements scolaires pourraient être utiles à la société, agréables à étudier, et qu'elles sont transmises de manière planifiée laissant l'impression qu'un message moral se dégage de cette chaîne agencée. Combien d'adultes ai-je entendu se plaindre On aurait mieux fait d'étudier ça (en parlant par exemple de la langue hiéroglyphique, ou de certains procédés pétrochimiques) plutôt que d'étudier des "conneries" ? Vous seriez surpris de connaître la classe sociale de ces personnes, qui n'ont rien à voir avec des ingénieurs, des docteurs, avocats, etc...


Rencontre avec l'occulte

Je dois parler de mon rapport avec l'occultisme, que je pratique depuis maintenant onze ans. J'allais avoir vingt et un ans à l'époque, et je me souviens des vacances d'été de l'époque. Lors d'un repas de famille sur le Bassin d'Arcachon, je vis des invités de la famille que je n'avais jamais vus auparavant. Des branches collatérales, des familles par alliance, des voisins...
Ce fut lors de l'apéritif que les choses se compliquèrent : Différents groupes s'étaient formés dans le salon, et moi j'étais enfoncé dans un fauteuil, à côté de deux autres invités. La maîtresse de maison, par ailleurs l'une de mes tantes, était en cuisine avec deux amies que je ne connaissais pas. L'une d'elles sortit et me dévisagea en souriant...Un peu surpris, je lui dit bonjour poliment, puis elle repartit en cuisine subrepticement. Elle revint un peu plus tard et me décocha un autre sourire comme si c'était ma mère. Là, je fus un peu gêné, et je lui dis bonjour de nouveau. C'est à la troisième reprise qu'elle vint vers moi et m'aborda en ces termes :
"Bonjour, excusez-moi, je ne vous connais pas, mais je suis voyante et je crois que vous avez un don. Cela vous dérange-t-il si l'on fait un test après le repas ?"
C'est donc surpris et excité qu'à la fin du repas, je fis le test en question avec elle. Elle ouvrit une mallette en aluminium rempli de jeux de cartes plus chatoyants les uns que les autres, et elle me fit les cartes, au grand dam de son mari, un rationaliste que les activités de sa compagne agacent au plus haut point.
Ce fut tout simplement fascinant, je buvais ses paroles. Le "don" en question sortait dans le jeu, représenté par le symbole d'un oeuf luminescent dans les cartes. Mais en revanche, impossible de savoir quelle était la nature de ce don. Jamais les cartes ne me l'ont dit, et je suis donc parti en recherche depuis...Et je comprends mieux aujourd'hui pourquoi !


Elle me présenta un objet curieux, un bout de cristal tenu par une chaîne qu'elle appelait un pendule. Je pris le pendule selon ses indications, et rapidement et à ma grande surprise il se mit à tournoyer sans que je fasse d'effort, pratiquement à l'horizontale. Elle s'exclama : "je n'ai jamais vu un pendule tournoyer aussi fort, tu as vraiment beaucoup d'énergie !"

Pour moi, il était évident que j'avais probablement un don de voyance. J'ai donc étudié le Tarot de Marseille, découvrant son extraordinaire richesse symbolique et historique, et les visions qu'il permet quand au futur mais aussi à la psychologie des gens, à commencer par sa propre psychologie. J'ai eu l'occasion de développer une sensibilité "à tout faire" pour sentir les choses, qu'elles soient passées, présentes ou à venir. J'ai appris également les limites de cet art, et ses applications dans la vie concrète et dans l'évolution du tempérament.

Je découvris la tradition hermétique et la Kabbale, lisant avidement et sans cesse. Comment se faisait-il que personne ne m'en ait parlé plus tôt ? Comment se faisait-il que si peu de gens connaissent ces techniques qui apportent du bien-être pour tous, et rendent autonomes vis-à-vis des religions ?

Je découvris plus tard d'autres dispositions remarquables me concernant :
C'est ce rapport particulier entre science et occultisme qui m'a conduit vers la Franc-Maçonnerie et m'a sensibilisé au problème de la Connaissance.

Franc-maçonnerie

L'un des membres de ma famille est Franc-Maçon. Connaissant mon parcours personnel, mes goûts, mes orientations, ma façon de réfléchir et de débattre, il discutait souvent avec moi de sujets philosophiques dont j'étais toujours surpris de la teneur et de l'actualité.

Beaucoup de mes connaissances savaient sa qualité de "Frère" et en prenaient ombrage : "Regarde-le faire le beau, de toute façons il est pistonné donc s'il ne résoud pas nos problèmes, c'est q'il le fait exprès". Sans commentaires...
"C'est une secte, je le sais, je l'ai lu..."


Pour ma part, c'est tardivement que j'ai appris et compris que cet homme fait partie d'une société secrète. Curieusement, je m'en tamponnais un peu car je connaissais ses positions sur l'occultisme, plutôt réfractaire. A vrai dire, je ne m'étais pas trop intéressé au sujet de la Maçonnerie.

C'est lorsque j'ai commencé à étudier le Tarot qu'il a regardé avec attention la manière dont je m'y prenais, contemplant l'ensemble de mes Lames étalées sur la table.

Puis lorsque j'ai commencé à étudier la Kabbale qu'un jour il m'a pris en a-parte dans la plus grande discrétion pour me parler des études symboliques sur la Kabbale, et les écueils que je devais éviter dans cette étude.

Ce fut durant l'année 1998 qu'il me proposa d'entrer en Franc-Maçonnerie. Ainsi au premier trimestre de l'année 2000, je rentrais comme apprenti au Grand Orient de France.

Je ne peux pas dire que j'ai été particulièrement actif en Franc-Maçonnerie, bien que je me sois pas mal investi à la vie du Temple. Par activité, il faut entendre le coeur de métier, le travail intellectuel à vocation sociale ou symbolique, et qui se traduit par des productions littéraires appelées "planches"; par d'obscures voies elles finiront dans le contenu d'un quelconque programme électoral... J'ai connu quelques loges en province, dont une sur le Bassin d'Arcachon, à l'occasion de laquelle j'ai eu la surprise de découvrir que la voyante qui m'avait "initié" en faisait partie !!

Je ne suis jamais passé au grade de Maître, pour une raison très simple : j'ai posé ma démission au moment même où j'étais pressenti pour y passer.
J'ai appris, avec l'âge, à "sentir" les choses plus qu'à ne les penser. Un sentiment poignant (peut-être océanique ?) s'empare encore de moi quand je repense à ce moment de départ : Un appel vers la liberté, peut-être ?

Rapport à la connaissance et sa diffusion

Dans le Tarot de Marseille, il existe une carte, on dit une Lame, qui s'appelle "l'étoile".


Elle porte le numéro 17, comme les 17 étoiles de la constellation de Draco, et met en scène une femme nue, grâcieuse et sensuelle qui tient deux vases. Elle verse par terre le contenu de ces vases, qui semble être de l'eau. L'eau du vase de droite part dans un point d'eau, qui est représenté dans certains tarots par une rivière. L'eau du vase de gauche part en terre, mais ne mène nulle part. Une terre stérile en somme.
La première leçon de l'étoile est qu'il y a deux formes de connaissances : la connaissance stérile et la connaissance féconde. Les interprétations peuvent être nombreuses, opposant la connaissance par les émotions (voie alchimique humide) de la connaissance par la raison (voie alchimique sèche), ou bien opposant la connaissance qui appelle d'autres connaissances (le partage des connaissances) et la connaissance-objet, qui devient un sceptre de pouvoir, la théorie et la pratique, etc...L'important est d'être lucide sur la nature de la connaissance reçue ou cherchée, et de se poser la question : cela a-t-il changé ma vie ?

Maintenant, considérons comment la Science définit le rapport à la connaissance. Il s'agit essentiellement d'un cycle d'apprentissage. Formuler une hypothèse, l'expérimenter, comparer ce qui se passe à ce que l'on croyait et en tirer les leçons. En fait, tout le monde fonctionne ainsi. La différence avec les rationnalistes est la notion de mesure et de protocole. Il faut passer par un outil extérieur à nos perceptions humaines pour traduire en chiffres un phénomène naturel. Du coup, tout le cycle d'apprentissage se fait à l'extérieur de notre esprit, en s'appuyant sur les arcanes de l'écriture, de l'alphabet et du langage, la logique ne pouvant exister sans ces trois derniers. Du coup, on espère que la connaissance ainsi formalisée sera socialement : Deux conceptions de la connaissance semblent s'affronter :
Cher lecteur, dans tout ce site, je pars du principe que seule m'importe la connaissance utile, ce qui est une conception très anglosaxonne. Peu importe si la connaissance doit se "casser la figure" ultérieurement suite à je ne sais quelle investigation, car je suis intimement convaincu que tout ce que l'on peut découvrir par soi-même, par sa sensibilité, son vécu, est une forme de connaissance comme une autre. Que cette connaissance soit vraie ou fausse n'est finalement qu'une question très relative, même si cela te choque. De toute façon, il existe un théorème de logique assez complexe, le théorème de Gödel qui explique que :
L'exemple le plus simple est de comparer ces deux phrases :
L'une des deux propositions n'est pas décidable, laquelle ?
Tu peux croire en une légende, accepter une vérité scientifique, cela n'a aucune importance du moment que cela te fait avancer, et toi seul.

Je considère donc que la science est utile, et notamment la méthode scientifique n'a pas son pareil pour découvrir de manière fortuite des connaissances, ce qui n'était pas son but premier...Tout part d'un processus d'apprentissage...
Quelques explications ici
Voilà, je me suis présenté de manière détaillée, et maintenant bonne lecture !!


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