Les Runes nous parlent des Merveilles du Ciel et des Fruits de la Terre

Bonsoir à tous,

J’ai établi un parallèle entre forces du Ciel et de la Terre suite :

Dans tous ces systèmes, il y a confrontation entre les forces de la Terre et les forces du Ciel. On décline cette opposition duale sur 4 civilisations au moins, et dans chaque civilisation la distinction entre les forces du Mal, bien réelles, et les forces de la Terre, doit absolument être faite.

Il existe de vraies loges de mages noirs, qui ont leurs propres désirs, leur propre logique implacable, dans un style très psychopathique, sociopathique. Ces groupes ont bien entendu tout intérêt à se servir de ces dualités et d’y semer la confusion.

Pour ce que je comprends aujourd’hui, il existe une vraie maîtrise christique des forces de la Terre, mais ce savoir nécessite une grande maturité quand à la subtilité entre forces du Mal et forces de la Mort et de la Transformation. Se “frotter” aux forces de la Terre est précisément le but de l’incarnation, sans parler de notre contribution à “l’Esprit du Monde"…

C’est précisément au moment où le Christ est entré en contact avec l’Aura de la Terre, qu’il a été permis à l’humanité de discriminer entre Forces de la Terre et Forces du Mal. Le bénéfice est juste in-cal-cu-lable, et oui, comme le disent les Théosophes et Rose+Croix, toute démarche spirituelle n’est désormais plus vouée à l’échec.

De plus, les Forces de la Terre étant éminemment féminines, elles ont maille à partir avec les chamanismes des origines, et toute interprétation religieuse visant à confondre la Terre et le Mal est nécessairement misogyne, et profondément déséquilibrée.

Enfin, et je rejoins Platon que je découvre progressivement ainsi qu’Eschyle et Hésiode, lorsqu’il parle du “Noble mensonge". Tout point de vue revanchard, qui voudrait écraser les mécréants païens et féminisants, ou qui au contraire en plein paganisme artificiellement enténébré voudrait se venger des “patriarcaux” ne conduira nulle part ailleurs qu’à la magie noire.

Libéré des contingences du temps et paisible en regardant tour à tour les hommes et les femmes, le disque ailé s’envole vers Nout, précédé et escorté d’Athéna la Lumineuse, celle qui ouvre les chemins de l’Humanité.

En attendant de déterminer ce qu’il y avait dans mon coca (!), je voudrais présenter un petit tableau dont je suppose qu’il existe déjà ailleurs sur le Net :

CivilisationVikingÉgypteGrèceInde
TerreVanesDieux anciensTitansNâgas
CielAsesDieux récentsOlympiensGarudas

Y a-t-il espoir qu’un jour ces deux familles soient jamais réconciliées ? C’est la Rune Mannaz (en rapport avec le géant Thjazi), directement liée à l’arcane du Soleil, où les Ases et les Vanes se donnent l’accolade fraternelle sous l’égide du règne christique.
Si Aker == Mithra,
alors Atoum (égypte) == Thjazi (runes)

A+,
Hiramash.

Le système de valeurs runiques

Un article très intéressant montrant la manière de raisonner des scandinaves, que l’on devrait adopter en étudiant les runes :
L’éthique runique, ici.

PS du 30 octobre : j’en profite pour rajouter deux liens sur la magie runique :

Enfin, pour “enfoncer le clou", si j’ose dire, l’utilisation des runes dans les maisons à colombage : C’est comme l’oeuf de Christophe Colomb, “simple, mais fallait-il y penser” !

A+,
Hiramash.

Une étude hallucinante sur les "phonèmes archétypaux"

Ici, par un vrai linguiste et de sa base phonosémantique “ELSINOE” :
http://trans-science.cybernetique.info/index.html

hénokéen et islandais

Est-ce l’aurore boréale en guise de couronne sur la première de couverture de mon livre ?
Ou bien est-ce le rapprochement entre la langue d’Arwen l’elfe (inspirée du norrois et du finnois), et la prononciation de l’hénokéen, mis au clair dans ce même livre ?

hénokéen et islandais
"Elfe Arwen et sa couronne (extrait de www.thehunchblog.com)"

Que ce soit l’un ou l’autre terme, toujours est-il que progressivement l’hénokéen tisse un lien ténu, pas très scientifique mais bien présent, avec la thèse des hyperboréens en ésotérisme et, partant, avec l’ensemble du druidisme qui s’en réclame.

Ici, je présente deux découvertes phonologiques qui m’ont sauté à la figure :

  • Le prix réel de la confusion entre consonnes
  • Les règles de prononciation que j’ai induites du travail de P. Shaffer, et leur rapprochement aux phonèmes islandais

Concernant les consonnes, j’ai maintenant une certitude, du reste fort contraignante quant à la bonne prononciation de l’hénokéen. A force de l’utiliser, je m’en suis rendu compte : Il faut à tout prix éviter les confusions entre lettres (phonèmes) sonores et lettres sourdes. Il s’agit d’une erreur de “voisement” (voir Wikipédia ici)

Enfin, concernant ma deuxième découverte phonologique, il me semblait que la prononciation des lettres hénokéennes se rapprocherait de celle de l’Islandais :
L’alphabet islandais ici

A propos de la confusion “sourde / sonore".
“s” et “z". “z” est dite “sonore” car tout le long de la prononciation de cette consonne, il y a une sorte de “grésillement de cornemuse” (!), en fait un fond de voyelle ; la cavité nasale résonne, comme si on y ajoutait une voyelle.
Quant à lui, le “s” ressemble à un sifflement de serpent, il est dit “ssssourd” !

A propos de cornemuse : Elle se dit “bagpipe” en anglais, et je connais une chanson qui en parle … :-)

De même pour les occlusives, les lettres qui “éclatent” comme le “p” ou le “t” avec un claquement de lèvres ou de dents. Là aussi, il y a des sonores et des sourdes, par exemple le “b” est une occlusive sonore, on entend le fond de la lettre “eu” derrière, alors que le “p” est l’occlusive sourde correspondante.

Maintenant, sous vos yeux ébahis, la poésie de l’hénokéen…
Lorsque deux lettres sont proches en prononciation (selon les critères linguistiques, comme le triangle vocalique, ici, par exemple), leur sens a quelque chose à voir, et même peut être estimé comme proche !
Le sens des lettressences est ici, dans mon livre à la page 95.
Ainsi :

  • “E” et “I” sont proches dans le triangle vocalique, leur sens est respectivement “Volonté” et “Energie".
  • De même, “A” et “O” signifient le “Temps” et “Etre".
  • De même “O” et “U” signifient “Etre” et “Lumière”
  • De même “I” et “Y” signifient “Energie” et “Croissance”
  • Plus subtilement “S” et “SH” (contexte /ʃ/) signifient “avoir” et “avoir du souffle"/"être vivant”
  • Plus subtilement aussi “F” et “PH” (/f:/) signifient “manifester” et “établir par la respiration”


Petit aparté : Pour une définition rigoureuse d'une notion de distance entre consonnes, et plus précisément de distances entre phonèmes consonnantiques, a fortiori dans le cas hénokéen, il conviendrait de procéder ainsi :
  1. Prendre le plan de classement des lettres en phonétique articulatoire (ici),
  2. S'en servir comme d'une "ontologie", (ici)
  3. Et y introduire une distance sémantique au sens de Wordnet (ici)

Là où c’est précisément l’inverse, ce sont les phonèmes s’associant par “surdité"/"sonorité", ainsi :

  • “C” et “G” (contexte /g/) : Confusion de “cause” et “négation”
  • “T” et “D” : Confusion de “équilibre” et “possibilité”
  • “CH” fin de mot (contexte /tʃ/) et “G” milieu/fin de mot (contexte /dƷ/) : confusion de “créer” et “négation”
  • “F” et “V” (contexte /v/) : confusion de “manifestation” et “ténèbre”
  • “P” et “B” : confusion de “établissement” et “choix”
  • “K” et “Q” : confusion de “cause” et “désir”

On constate, au vu du tableau précédent, qu’en terme de sens, la confusion entre un phonème sourd et son phonème voisé associé, peut être simplement CA-TAS-TRO-PHIQUE !
L’idée est donc de dire qu’il y a des raisons profondes pour lesquelles on aurait tendance à confondre ces phonèmes :

  • soit d’ordre structurel ("génie” d’une langue, limitations du gosier humain)
  • soit d’ordre personnel (problèmes orthophoniques liés à un défaut énergétique personnel ?)

Sans aller plus loin, car rien n’est solide en ce domaine, il semblerait que la “confusion sourde sonore” serait le symptôme le plus fréquemment observé par les orthophonistes et les logopédistes chez les enfants dyslexiques.
Une des règles cardinales en prononciation de l’hénokéen est d’éviter absolument l’accélération de la parole. Cela conduit immanquablement à des effets phonétiques typiquement humains, qui dénaturent la prononciation des lettres, et donc pervertissent les énergies manipulées.

L’hénokéen doit être prononcé extrêmement lentement, ce qui doit lui donner un air grave, solennel voire étrange, comme une cassette passée au ralenti.

A propos de l’alphabet islandais
Il s’agit d’examiner en particulier le tableau de prononciation des consonnes, ici.
Ce qui m’a mis la puce à l’oreille, c’est la présence de phonèmes qui ressemblent étrangement aux phonèmes hénokéens, notamment des diphtongues de voyelles, ou des placements entre voyelles et consonnes qui changent le phonème.
Par ailleurs, les phonèmes “hv", “k” et “kj” se prononcent “k avec une légère expiration après” dans certains contextes, ce qui m’a fait penser au “phonème du souffle” CH en hénokéen qui a exactement ce comportement.

Les phonèmes liés à “TH” sont /ð/ (voisé) et /þ/ (sourd).
Nous avons vu précédemment qu’une confusion “voisé / sourd” peut mener à la catastrophe, il convient donc vraiment d’étudier ce cas-ci.
En islandais précisément, les deux phonèmes en question sont prononcés “brefs", ce qui les fait ressembler au /d/ et au /t/ :

  • /ð/ -> /d/
  • /þ/ -> /t/

Un examen du tableau du sens de lettressences hénokéennes mentionné précédemment nous renseigne sur “d” et “t” :
/d/ la possibilité, /t/ l’équilibre. Or, “TH” est, d’après Mme Shaffer, la “vie justifiée, l’équilibre intérieur".

Donc, à l’évidence, “TH” doit se prononcer plutôt comme /þ/.

A+,
Hiramash.

Après le bonheur national brut boutanais, voici la fonctionnelle de bien-être social !

Je découvre une bien curieuse science, issue des pratiques de l’économie et appliquée à la sociologie et à la (géo)politique : l’économie politique. Entre autres choses, la “fonctionnelle de bien-être social de Bergson-Samuelson” (!) :

Présentation littéraire de la fonctionnelle de Bergson-Samuelson

A+,
Hiramash.

Pastor, le médium qui explicite l'Heptarchie Mystique

Sur le site “Conscience Universelle”, se trouve un ensemble de messages étiqueté “messages de Pastor". Il s’agit d’un médium dont j’ai entendu parler grâce à une référence de Françoise Hardy, qui en parlait dans un “Paris Match” dans une salle d’attente de docteur…
Je suis allé vérifier “Pastor” sur Internet.
J’y ai fait une belle découverte, qui aide vraiment à comprendre l’hénokéen, et que je partage ici.

Pastor parle spécifiquement du problème des “7 planètes traditionnelles”, dont on imagine qu’il est suranné puisque les planètes ne se limitent pas aux sept premières ; je mets de côté la distinction planète / luminaire / astre.
Non seulement Pastor y répond de manière remarquable et instructive, mais son message éclaire :

  • la compréhension des Elohims qui ne sont pas des génies planétaires,
  • la compréhension des Ministres au sens hénokéen qu’il faut mettre “en paillasson” afin de préparer le “sol occulte”
  • la compréhension de la pratique de l’astrologie, qui elle aussi a franchi un cap en intégrant la dimension psychique des planètes, mais doit aller plus loin en intégrant le système de psychologie descriptive des rayons et sous-rayons d’Alice Bailey
  • la compréhension du système QVYD qui doit être considéré :

    • non-seulement comme la généalogie “cousine” des Ministres Heptarchiques
    • comme n’étant pas celle des Princes et Rois Heptarchiques,
    • mais surtout comme celle des génies planétaires païens, au contact desquels il convient d’être prudent au sens gnostique

Il devient alors extrêmement intéressant de constater qu’un Rituel d’Heptarchie n’a toute chance de fonctionner que si la vocation de ce rituel est de vulgariser des connaissances d’évolution et des messages d’Amour. L’Elohim se déplace…Il faut donc impérativement s’assurer qu’une expérience Heptarchique a une fonction testimoniale.

En outre, cela éclaire la compréhension des “systèmes de voyage” en hénokéen qui me semblait un peu confuse. Les Aethyrs de la Terre en hénokéen ne sont pas faits pour obtenir quelque chose, ils sont faits pour “aller quelque part". De même, le système QVYD est fait pour “aller quelque part” dans le système solaire et au-delà, ce qu’a commencé à faire Josh Norton / Benjamin Rowe, en visitant des systèmes solaires voisins du nôtre par la pensée (voyage astral…?).
Donc, pour explorer en se protégeant (système QVYD mais pas Heptarchique), il convient de se munir d’une monture et d’une armure, au sens chamanique :

  • Dans le cas kabbalistique, on chevauche la “Merkavah",
  • Dans le cas chamanique, on chevauche le totem (dragon, ours, renard, etc…)
  • Dans le cas hénokéen, deux pistes se dégagent : Le cube magique SIIBIDI, et le"tapis volant hénokéen", tous deux travaux de Marid Audran

Par extension, pour visiter les aethyrs, il conviendrait non-pas d’en avoir un contact direct au travers d’un miroir, mais d’utiliser le “cube” ou le “tapis". (Plus classiquement, en hénokéen, on peut considérer que les 30 aethyrs sont liés à certaines portes du Liber Logaeth ;on emploie alors la technique de voyage des Portes du Liber Logaeth, déplaçant ainsi le problème)

Référence sur les planètes sacrées d’Alice Bailey

A+,
Hiramash.

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