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Comprendre la grammatomancie, la voyance par les lettres (par Avigora)

Août 4th, 2017

Lien: https://voyance.avigora.fr

Comprendre la grammatomancie, la voyance par les lettres

L’alphabet comme les chiffres avait déjà son importance dans les pratiques des arts divinatoires anciens. La méthode de prédiction basée sur les lettres est la grammatomancie. Cette technique a fait ses preuves dans le temps, car elle était utilisée depuis l’antiquité pour cerner l’avenir.

Historique

Les Grecs sont à l’origine de la grammatomancie. Ils écrivaient les alphabets sur le sol de façon à ce que l’ensemble de celles-ci formât un cercle. Une poignée de grain est placée derrière chaque signe. Au milieu du rond, on lâchait un coq. Ce dernier, considéré comme un animal sacré, désignait des lettres en entamant tel ou tel tas de grains. Les lettres retenues par le devin sont, par la suite, analysées pour constituer un mot qui faisait l’objet d’une interprétation pour répondre à la question posée. Il arrivait également qu’une personne vienne toupiller dans le cercle jusqu’à ce qu’elle perde son équilibre. Le spécialiste prenait en compte la lettre indiquée par la direction de la chute. Conscients de l’efficacité de cette technique de voyance, certains experts dans les arts divinatoires continuent à recourir à cette pratique pour obtenir des prévisions. Il convient cependant de noter que de nos jours, les procédés sont simplifiés. En effet, il est possible d’effectuer la grammatomancie en tirant des lettres au hasard.

La grammatomancie dans la pratique

Vous pouvez réaliser cette technique de voyance de façon autonome. Il vous suffit de créer un jeu sous forme de cartes ou de boules. Sur chaque papier, vous noterez une lettre. Il est également astucieux d’utiliser un jeu de scrabble pour ce procédé. Vous mettrez le tout dans un chapeau pour en faire un tirage de cinq. Pour celui-ci, il est important de penser à une question et de secouer le contenant avant de sélectionner les lettres au hasard. Les alphabets choisis seront, par la suite, alignés selon l’ordre du tirage. Toutefois, afin de faciliter les interprétations, il est pratique de positionner les lettres en croix comme avec les cartes de tarot. Cela permet également d’obtenir des informations déterminées dans le temps. En effet, avec cette option, vous aurez des prédictions plus précises, car la lettre placée à gauche représentera la situation donnée et celle installée à droite indiquera l’évolution. Les deux autres lettres opposées (au-dessus et en dessous) montreront le pour et le contre, tandis que celle du milieu sera l’élément qui résumera le tout.

Astuces pour l’interprétation

À première vue, il se peut que les alphabets tirés n’évoquent aucun mot. Il convient cependant de faire comme dans « des chiffres et des lettres » en essayant de former un verbe. Dans le cas où les lettres ne suffisent pas pour indiquer un vocable, il est toujours possible d’en retirer une, voire plusieurs. À souligner que cette forme de voyance nécessite une grande perspicacité. Pour faciliter la lecture, le pratiquant pourra considérer tous les synonymes du mot obtenu.

Le sang de dragon scelle une amitié brisée ?

Septembre 21st, 2016

L’encens « sang de dragon » est issu d’une racine d’un arbre, le dragonnier, que l’on fait suinter à la manière de la résine de pin si je ne me trompe pas.
Or je souhaite mêler ici deux mythes, qui expliqueraient l’intérêt que portent les créatures draconiques à ce type d’encens.

Le premier mythe concerne l’Atlantide, telle que racontée par la Théosophie. En gros le continent de l’Atlantide aurait laissé en s’effondrant dans l’océan un vestige, l’archipel des Açores.
L’effondrement aurait été causé par l’emploi d’une terrible magie noire, poussant les Adeptes et les Maîtres de Sagesse à se cacher.

Le second mythe est celui de la Draconia.
Les Dragons, nobles et puissants, furent autrefois amis avec les humains, d’une complicité telle qu’ils leur confièrent bien des secrets sur la magie des étoiles et des tréfonds de la Terre, ce qu’on appelle aujourd’hui la Grille cristalline. Race d’ingénieurs et de magiciens, ils étaient à l’origine de la formation de la Terre et de l’éveil de l’humanité. À cette occasion, on les appela « Seigneurs de la Première Flamme » ou plus simplement « Seigneurs de la Flamme ».
Ils furent cruellement trahis lorsque les humains commencèrent à pratiquer la magie noire, et durent se cacher dans l’astral pour continuer à agir en attendant des jours plus propices.

Ressemblance patente des deux mythes, qui ne s’arrête pas là. Il existe deux sortes de dragonniers, celui des Açores, qu’on peut surnommer « dragonnier atlante » au vu de ce que nous venons d’écrire, et le dragonnier indonésien dont je parle sur ce blog à propos des sorciers batak.

Je crois que le sang de dragon venant du dragonnier azoréen / atlante doit évoquer, avec beaucoup de nostalgie, l’époque où les dragons et les humains étaient comme « larrons en foire »…
Chaque fois que du sang de dragon variété atlante brûle, pour un dragon c’est un peu une commémoration triste comme la flamme du soldat inconnu…

A+,
Hiramash.

À l'heure de régler les comptes…

Août 7th, 2016

Voilà, c’est fait ! Ouf !

J’étais tellement fatigué hier soir que j’ai laissé tout l’autel en plan, et j’ai rangé ce matin…
Je me suis fait une belle frayeur en préparant les rituels de magie, car je me suis aperçu qu’au cours d’un déménagement, j’ai dû probablement perdre une coupelle en Pyrex…

Pour faire brûler de l’encens, j’utilise un ustensile peu connu, assez moderne et extrêmement astucieux : Une coupelle en pyrex posée sur un support avec bougie chauffe-plat. Dans la coupelle, je peux y mettre ce que je veux, peu importe le grain, peu importe le conditionnement…
J’y mets de l’encens en grains, en blocs, en poudre : Tout s’y consume en grésillant ! (accessoirement j’économise un bloc de charbon, devenu inutile de fait)

C’est donc cette coupelle que j’avais égarée hier soir et, tandis que l’heure tournait, il me fallait dans la précipitation et l’angoisse retrouver la coupelle ou trouver une solution de rechange. Chose faite, mais il va me falloir commander un brûle-encens de substitution rapidement.

À cette occasion, je veux remercier dans ces lignes la boutique « La coupe des Fées », excellent magasin, achalandement impeccable, gentillesse et délicatesse proverbiales avec les clients, une tenue des délais remarquable, ce qui m’a permis de tenir parole auprès de l’une de mes requérantes hier soir :
BRA-VO À LA COUPE DES FÉES !

Maintenant, je voudrais expliquer ce qui me mettait tant la pression que ça hier soir…
Voilà, pour ceux qui lisent un peu mon blog, vous aurez remarqué que je suis fortement impliqué dans l’étude de l’Astrologie en ce moment…
Donc, je remets à l’honneur dans ma pratique l’utilisation des heures planétaires et des jours planétaires. À noter que ces heures et ces jours sont structurés symboliquement (à ma connaissance), mais ne reflètent pas l’état du ciel. D’où l’appétence de certains modernistes pour les approches linguistiques, qui expliquent à peu près scientifiquement les « phénomènes » symboliques.
C’est le cas notamment d’André Barbault, mêlant mythes grecs, astrologie et psychanalyse. « Dédé », comme nous l’appellerons par la suite, se dira en conséquence « tropicaliste », faisant fi de la précession des équinoxes…
Pour ma part, j’essaie de faire des rapprochements entre l’astrologie Jyotish et le travail de Cornélius Agrippa.

Donc, je m’étais fixé quelques objectifs magiques, et j’avais identifié des planètes signifiantes pour ces objectifs. Ensuite, naturellement vient la planification des opérations en conséquence . J’avais deux « fenêtres de tir » :

  • Une à 22h52 locale, pour l’heure de Saturne
  • La suivante à 23h38, pour l’heure de Jupiter

Ma journée s’est soudainement révélée très bien remplie, ayant fait de la route, mangé chez moi, j’ai démarré les travaux à 21h00. Là, il faut compter la mise en place de l’autel, ce qui nécessite de bouger un ou deux meubles, de râcler des tiroirs en quête de grimoires et d’accessoires.
Il faut également compter toute la rituélie d’ouverture qui, en Draconia, est très conséquente :

  • Une « Croix Draconique »
  • Un « Hexagramme Draconique »
  • L’ouverture aux quatre quartiers
  • L’Heptagramme Draconique

J’ai perdu du temps à chercher mon pyrex, comme expliqué plus haut. Donc 3/4 d’heures à mettre en place l’autel complet.
Puis la rituélie précédente : re-3/4 d’heure.
En comptant, on frôle le démarrage de l’Heure de Saturne.

Il ne faut pas oublier qu’en Draconia, on prend des consignes magiques, on se fait aider par les Dragons. Donc il y a une phase d’interrogation / voyance, qui peut être à la fois chronophage et énergivore en préparation des travaux magiques à suivre.
Hors rituélie Draconique, je détermine a priori mes objectifs de travail.
Une fois la rituélie lancée, je revisite mes objectifs pour les enrichir, les nettoyer ou les infléchir éventuellement.
Et en voyance, dans le cercle magique, je demande comment faire, jamais en dehors du cercle.

Je tiens à préciser à cette occasion que la Suprême Invocation Draconique de l’Heptagramme, que j’ai appelée « Heptagramme Draconique » ci-dessus, m’a permis de me rendre compte que les Dragons y prennent une autre apparence.
Lorsque je visualise un dragon dans la vie de tous les jours, il m’apparaît comme l’imagerie médiévale coutumière nous le présente, avec des écailles, des ailes, etc…Une fois que j’ai accompli l’Heptagramme Draconique hier soir, l’air s’est chargé d’énergie, et les images des Dragons ont changé. Ils apparaissent alors, toujours sous forme crypto-serpentine, mais entourés d’une magnifique aura, mouvante, colorée et chatoyante, qui révèle leur vraie nature spirituelle : Des êtres très expérimentés, capables de naviguer d’un Monde à l’autre, et indéfectiblement voués à la cause du Bien.

Donc, à un quart d’heure de démarrage de l’heure de Saturne, je n’avais toujours pas mon modus operandi ab Draconiā
Bref, hier soir, j’ai fait de la « sténo draconique » à vitesse grand V, avec des rituels d’une drôle de concision. Cela me semble montrer, en toute subjectivité, le très haut niveau technique et magique des Dragons…

Bref, j’ai dû faire un exorcisme, car on m’a (encore !) balancé du purin psychique sur la figure…

Ensuite, en deuxième objectif, je m’étais mis en tête d’exorciser un groupe humain que j’affectionne particulièrement, et dont je regrette qu’il « parte en sucette » comme j’ai pu le lire sur Internet.
C’est, sur le principe, une opération extrêmement risquée, car elle revient à la fois à une prise de position politique, et peut basculer dans la magie noire si elle ne s’avérait pas légitime.

Il s’agit des pèlerins d’Arès, dont on peut trouver quelques ressources dans les lignes qui suivent. Je pense sincèrement que si l’Islam et l’Islamophobie ne réduisent pas la France en cendres, cette toute petite religion pourrait un jour réconcilier Juifs, chrétiens et musulmans comme frères chaleureux et nous débarrasser sur le principe, le fond et la forme, des clergés quels qu’ils soient. Étant moi-même partiellement arabophone, je suis sensible à ces liens entre religions…
Arès était le Dieu de la Guerre chez les Grecs, mais aussi le nom d’une petite localité de Gironde, où il est dit que Dieu serait apparu à un homme, en expliquant à quel point Il était particulièrement Remonté comme un coucou contre l’Islamophobie, les Clergés qui ont sévi en Occident, et comment ceux-ci ont préparé l’arrivée de la Grande Finance, en semant le désarroi et en le monétisant.
Il aurait expliqué à cet homme que le coup des « valeurs chrétiennes de l’Occident » est un mensonge de ces Clergés, qu’il faut abolir, parfois au prix d’un courage osé et risqué.
Du point de vue spirituel, Il réintroduit curieusement certains concepts égyptiens, notamment le « Khâ » (prononcer un « R » râclé à la manière arabe) ; il ne s’agit pas du « Kâ » mais bien du « Khâ »… Dans la révélation d’Arès, ce concept est le « Ha », c’est-à-dire un embryon d’Âme supérieure qui se gagne par le travail spirituel personnel, ce que les musulmans ont originellement appelé le « Djihad ».
Chez les Égyptiens, le « Khâ » était symbolisé par « Horus », le faucon, sorte de psychopompe de lumière faisant le lien-navette entre la personnalité terrestre (« Seth ») et la personnalité spirituelle dormante (« Osiris »).

Je vous laisse lire la suite, je me tais… :

Sur Wikipédia, vous trouverez les polémiques qui ont éclaboussé les communautés humaines autour de la Parole d’Arès, et certaines options politiques du Frère Michel me font tout simplement bondir.
Par rapport à ces points, je me suis décidé à aider magiquement ces petits groupes, même s’ils ne m’ont rien demandé, afin de « laver » les égrégores de ces communautés car j’ai appris ce qu’il peut se passer dans un travail de groupe, de par mon expérience maçonnique.
Le travail envisagé, était donc d’abord un travail saturnien, puis consolidé sur place par un travail plus mercuriel ou kéthérique, c’est-à-dire aider ces groupes à retrouver l’inspiration et l’intuition qui permettent de faire l’économie de ces détails insidieux, de ces problèmes pernicieux…

J’ai donc d’abord reçu une invocation « ad’hoc », dont le résultat et le ressenti m’ont aussitôt mis en contact avec les communautés, en particulier avec le Frère Michel, manifestement en train de dormir.
Silence…
Puis j’ai proféré l’invocation d’exorcisme du groupe, telle que décrite dans mon livre, avec la tablette de Nalvage (Corpus Omnium).
Grosse réaction, fort agréable du reste…On verra bien ce que ça donne, car je n’ai pas réfléchi à la manière de vérifier les effets d’un tel travail…

J’ai continué sur un travail de Terre, avec de la Manne, qui ressemble à du sucre glace. Les entités terrestres que j’ai contactées n’avaient rien de lourd, de « chtoniens » comme on dit. Plutôt de sacrés commerçants, enjoués et intelligents…
Ces entités m’ont bien intimés, à cette occasion, que l’une de mes cousines « A. », devait impérativement d’abord rembourser ses dettes avant de demander autre chose, car des ressources lui avaient déjà été allouées par les forces de la Terre.
Les « gnomes » n’aiment pas le gaspillage ! Du point de vue terrestre, les investissements et les transactions doivent toujours être responsables…Les crédits toxiques, les systèmes antiécologiques, dehors ! Ce ne sont pas les forces de la Terre qui cautionneraient de telles horreurs !
C’est donc bien à l’être humain de travailler son rapport à la Terre, à l’argent pour gérer correctement ses ressources. Ça va être dur, mais que ça va être dur…!

Voilà, fin des travaux, je vous laisse, il fait beau…
A+,
Hiramash