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Une varicelle soulagée à distance !
Une cousine par alliance, “A.", m’a récemment demandé un petit service, si je pouvais faire un peu de travail guérisseur sur son fils “L.” en Aquitaine, qui a attrapé la varicelle. Comme je suis du côté des Carnutes, ce fut nécessairement un travail à distance.
En fait, si les lecteurs de ce blog l’ont remarqué, j’ai forcément eu des appréhensions à reprendre de telles activités. Je m’explique : il m’est arrivé quelques bricoles dans ma vie privée, et j’ai détruit la totalité de mes talismans ; je me suis débarrassé de la totalité de mes livres (20 ans de boulot). Bien entendu, je ne vous parle pas de la vague d’énergie que cela a dégagé et des malaises que cela a occasionné, surtout chez ceux qui ne croyaient pas à la magie…
En fait, il s’agit bien d’un mal pour un bien, et je repars sur des bases vraiment plus saines, avec la ferme intention de me débarrasser de la totalité des références kabbalistiques, en ne pratiquant que de l’hénokéen pur et dur. Les tattwas de la Golden Dawn sont remplacés par de purs talismans hénokéens, et les appels aux bannières ("oro ibah aozpi…") sont remplacés par de nouvelles invocations canalisées pour l’occasion.
J’ai retrouvé mes carnets de note, et notamment une invocation en hénokéen pour appeler le double astral d’une personne. J’ai également retrouvé le moyen d’appeler les anges guérisseurs, et c’est mon propre livre qui est littéralement venu à ma rescousse pour me restituer les invocations du débutant. Étonnant, non ?
Ainsi muni d’un bagage magique hénokéen conséquent grâce à un souffle opportun de fraîcheur, j’ai chargé la pièce, appelé le double de l’enfant “L.", appelé les anges guérisseurs, et ai commencé à magnétiser le double de l’enfant comme s’il était là.
Je dois bien admettre qu’il y avait longtemps que je n’avais pas pris mon plaisir de cette manière. J’ai même eu le sentiment que mon travail était nettement plus opératif, les invocations réagissant au quart de tour sans ambigüité. J’ai gardé ce sentiment de joie intense pendant deux jours, un sentiment qui m’a porté à bout de bras dans ce passage de ma vie. Ma technique de scansion des mots a encore évolué, je pense qu’elle fait réellement la différence.
Donc, dans cette fantastique ambiance hénokéenne, j’ai commencé à magnétiser. Lorsqu’on magnétise, on sent clairement des impulsions dans le bras qui guident vos mouvements…à bout de bras ! Il s’agit d’une variante de l’écriture automatique, que Barbara Ann Brennan a représenté de manière spectaculaire dans le cahier de planches en couleurs dans l’un de ses livres, où l’on constate que des présences angéliques peuvent prendre physiquement en charge la suite des opérations dans un magnétisme.
Là, j’ai senti qu’on m’agrippait “virilement” le bras, mais avec une très grande bienveillance, et qu’on me demandait d’accompagner chaque mouvement de magnétisme de la déclamation d’une incantation hénokéenne reçue à la volée, sur le moment ! Je serais bien évidemment totalement incapable de me souvenir de ce que j’ai pu raconter au double astral ce jour-là, mais dit trivialement, le gamin devait en prendre “plein la poire” de l’autre côté.
Je me souviens d’avoir travaillé sur le foie, mais aussi sur l’angoisse que génère la maladie. En effet, j’ai moi-même eu la varicelle gamin, et je me souviens des sensations de brûlures insupportables. Donc, il fallait absolument travailler deux choses : La maladie, et l’angoisse générée par la maladie.
Lorsque j’eus fini et congédié tout le monde, j’appelai “A.” pour avoir des nouvelles du petit. Surprise ! J’avais travaillé le matin, et l’après-midi, il n’avait plus de fièvre du tout (depuis le matin), il dormait bien, il avait recommencé à manger normalement, à uriner sans douleur…
A+,
Hiramash.
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