Une merveille de mysticisme

C’est en cherchant sur les fontaines guérisseuses des Landes, que j’ai découvert l’importance d’une dame mystique, Catherine de Sienne, dite « Sainte Catherine de Sienne ».
Si l’on compte :

  • Bernadette Soubirous (qui a parlé à la Vierge),
  • Hildegarde de Bingen (qui a parlé à Dieu et ses Anges, et a ramené un « proto-hénokéen » appelé « Lingua Ignota »)
  • Catherine Emmerich, (qui a canalisé Dieu, et fait établir le lien entre paganisme, égyptomania et magie noire)
  • Héléna Blavatsky, fondatrice de la Théosophie, ayant canalisé les « Mahatmas »
  • Alice Bailey, ayant canalisé le maître Tibétain « Djwal Khul » et fondatrice du mouvement « New Age », rebaptisé avec mépris « Nouile Age » par certains en loge

,
je trouve que souvent les femmes ont fait de puissants « channels » dans l’histoire humaine.

Du côté des hommes ? J’ai abordé en partie le sujet dans mon bouquin : Hiérarchie, bestialité, misogynie, et un irrésistible attrait pour la magie noire, pour « montrer qu’on est fort, capable ».

Alors, Catherine de Sienne ? D’abord, sa vie ici : https://fr.wikipedia.org/wiki/Catherine_de_Sienne

Ensuite, son chef d’œuvre de canalisation : https://maxencecaron.fr/wp-content/uploads/2010/09/LE-DIALOGUE-DE-SAINTE-CATHERINE-DE-SIENNE.pdf

A+,
Hiramash.

C215, le graffeur parisien

Ceux qui connaissent mon travail sur Internet ont peut-être remarqué ma « galerie », et notamment la partie « graffitis » ?

Alors vous allez adorer le graffeur C215, que je viens de découvrir sur Wikipédia :
Christian Guémy, alias C215, ici.

A+,
Hiramash.

Paetryn Daraco el le canyon de Bryce

Bonjour à tous,

Je n’écris pas souvent ces temps-ci sur mon blog, même pour des trouvailles plutôt mathématiques, genre « sciences de la Terre », astronomie ou le structuralisme « à la Bourbaki » le plus échevelé portant sur le patrimoine immatériel (sociologie, langues…).

Toutefois, ce que je viens de trouver ce matin vient littéralement de me « péter à la figure » en consultant Internet. C’est donc la peau et le cheveu un peu noircis que, piteux, je viens vous présenter le Canyon de Bryce.
Ici, veuillez procéder, je vous prie… Parc_national_de_Bryce_Canyon

Je ne crois pas avoir publié mes carnets de « Draconia » (apportée au grand public entre autres par Marc-André Ricard). Toutefois, il existe cinq ou six passages initiatiques qui sont avérés par corrélation entre M.A. Ricard et D.J. Conway.
Deux sont ici dignes d’intérêt :

  • Le passage de la Terre, ou « Paetryn Daraco »
  • Le passage des Étoiles, ou « Stellae Daraco »

Ce que j’ai vu dans ma méditation de Paetryn Daraco, c’est précisément le Canyon de Bryce !!!

Devinez ce que je viens de trouver ce matin ? le morceau de musique suivant, d’Olivier Messiaen, dont l’image de fond s’avère être le Canyon de Brice, confirmé par l’un des auteurs de commentaires sur Youtube.

Le morceau s’appelle « des canyons aux étoiles »…
Il suffit de creuser un peu plus dans l’article Wikipédia sur le canyon, pour découvrir que les étranges stèles de pierre s’appellent des « hoodoos », une alternative à « Voodoo ».

Je pense que les Dragons ont tendance à choisir des lieux d’initiation particulièrement reculés et sauvages, où la beauté immanente vous saisit et peut même vous mettre mal à l’aise…

Cordialement,
Hiramash.

Comprendre la grammatomancie, la voyance par les lettres (par Avigora)

Lien: https://voyance.avigora.fr

Comprendre la grammatomancie, la voyance par les lettres

L’alphabet comme les chiffres avait déjà son importance dans les pratiques des arts divinatoires anciens. La méthode de prédiction basée sur les lettres est la grammatomancie. Cette technique a fait ses preuves dans le temps, car elle était utilisée depuis l’antiquité pour cerner l’avenir.

Historique

Les Grecs sont à l’origine de la grammatomancie. Ils écrivaient les alphabets sur le sol de façon à ce que l’ensemble de celles-ci formât un cercle. Une poignée de grain est placée derrière chaque signe. Au milieu du rond, on lâchait un coq. Ce dernier, considéré comme un animal sacré, désignait des lettres en entamant tel ou tel tas de grains. Les lettres retenues par le devin sont, par la suite, analysées pour constituer un mot qui faisait l’objet d’une interprétation pour répondre à la question posée. Il arrivait également qu’une personne vienne toupiller dans le cercle jusqu’à ce qu’elle perde son équilibre. Le spécialiste prenait en compte la lettre indiquée par la direction de la chute. Conscients de l’efficacité de cette technique de voyance, certains experts dans les arts divinatoires continuent à recourir à cette pratique pour obtenir des prévisions. Il convient cependant de noter que de nos jours, les procédés sont simplifiés. En effet, il est possible d’effectuer la grammatomancie en tirant des lettres au hasard.

La grammatomancie dans la pratique

Vous pouvez réaliser cette technique de voyance de façon autonome. Il vous suffit de créer un jeu sous forme de cartes ou de boules. Sur chaque papier, vous noterez une lettre. Il est également astucieux d’utiliser un jeu de scrabble pour ce procédé. Vous mettrez le tout dans un chapeau pour en faire un tirage de cinq. Pour celui-ci, il est important de penser à une question et de secouer le contenant avant de sélectionner les lettres au hasard. Les alphabets choisis seront, par la suite, alignés selon l’ordre du tirage. Toutefois, afin de faciliter les interprétations, il est pratique de positionner les lettres en croix comme avec les cartes de tarot. Cela permet également d’obtenir des informations déterminées dans le temps. En effet, avec cette option, vous aurez des prédictions plus précises, car la lettre placée à gauche représentera la situation donnée et celle installée à droite indiquera l’évolution. Les deux autres lettres opposées (au-dessus et en dessous) montreront le pour et le contre, tandis que celle du milieu sera l’élément qui résumera le tout.

Astuces pour l’interprétation

À première vue, il se peut que les alphabets tirés n’évoquent aucun mot. Il convient cependant de faire comme dans « des chiffres et des lettres » en essayant de former un verbe. Dans le cas où les lettres ne suffisent pas pour indiquer un vocable, il est toujours possible d’en retirer une, voire plusieurs. À souligner que cette forme de voyance nécessite une grande perspicacité. Pour faciliter la lecture, le pratiquant pourra considérer tous les synonymes du mot obtenu.

Dons de l'Esprit et mouvements charismatiques

Il existe en Chrétienté, des aspects de l’enseignement des apôtres dont je me demande comment j’ai pu passer à côté si longtemps…
En particulier, les mouvements pentecôtistes, charismatique évangélique et néo-charismatique, mettent un point d’honneur à trouver les fameux « Dons du Saint-Esprit ».
Ils seraient au nombre de sept, et concerneraient les aspects décrits dans l’article de Wikipédia suivant, fort correct (en français) :
Les Dons du Saint-Esprit.

Je souhaiterais que les lecteurs de ce blog, surtout s’ils sont de Subud ou d’un mouvement charismatique que je viens de citer, ne jugent trop vite ici cet article, ni même la provenance « magique » de l’auteur de ce blog. Je m’imagine, peut-être un peu cuistrement, que j’ai la solution à leur recherche du Saint-Esprit.
Mais si cela s’avérait vrai …? Quel dommage, mais quel dommage d’être passé à côté d’une magie d’une telle puissance, qu’elle confine à la foi la plus classique et la plus lumineuse qui soit ?
« On » nous offre sur un plateau la magie hénokéenne, pourquoi la refuser sous prétexte qu’un type en parle et en serait arrogant ?

Je présuppose, en appliquant un « principe de cardinalités égales » que, si deux collections d’objet ont le même cardinal, alors elles entretiennent nécessairement un lien occulte. Voir Paracelse et certains de mes articles précédents…
Donc, les sept Anges de l’Heptarchie Mystique pourraient très bien subvenir aux sept Dons du Saint-Esprit.

Reste à travailler en vérification et rapprochement pour infirmer ou valider cette hypothèse, mais je laisse là pour l’instant ce travail en souffrance…

Ce qui me conforte dans ce rapprochement, c’est aussi l’étude d’une société syncrétique indonésienne, dont on dit qu’elle aurait inspiré « Star Wars ». Cette société aurait assimilé des éléments de bouddhisme ésotérique indonésien, dit « Kejawen ». La société en question, « Subud », a pour logo un système de cercles parcourus de sept rayons dont il est dit que c’est de toute manière le Saint-Esprit à sept facettes.

Bien entendu, on pense immanquablement à la rosace des 7x7 Anges Bons, dirigée par l’Archange Carmara, dont on dit qu’il est similaire à la Rosace elle-même.

Ce parallèle « Heptarchie Mystique / Dons de l’Esprit » est d’autant plus pertinent que, pendant la période où le système hénokéen a été révélé à John Dee et Edward Kelley, ce dernier a, pendant un court moment, reçu littéralement une « langue de feu » sur le crâne, et a pu parler en un « charabia », une glossolalie dont il dira a posteriori que c’était la Langue des Anges, mais aussi la dignité de l’Adam déchu…

Voilà, bon courage, tenez-moi au courant,
A+,
Hiramash.

La Merkavah et la Maison-Dieu, ça picote un peu…

Ce sera ici un article extrêmement mal rédigé, presque sur le mode du Tweet.
Je m’en excuse par avance auprès de mes quelques lecteurs fidèles, que j’ai dû habituer à une écriture un peu plus rigoureuse, avec force références et liens hypertextes.

Voilà : Alors que je lisais ce matin un article canalisé à propos du cube métatronique et de la Merkavah / Merkabah, j’ai fait un rapprochement fortuit entre :

  • la Maison-Dieu dans le Tarot,
  • la Merkavah,
  • « The Instrument of Thrashing » (« L’Instrument de la Râclée ») dans les carnets de John Dee
  • l’emploi du nombre 13,
  • les divinités courroucées en Tantra tibétain,
  • la « décussation pyramidale » chère à Toni Ceron,
  • le Feu Igné tel que traité ici (incorrigible, vous-dis je…) : Le message d’Erelim, Dragon de Feu

L’idée principale du texte canalisé ci-dessus repose sur l’idée qu’il existe plusieurs types de feu intérieur en travail des énergies. Sans entrer dans la sémantique de ces feux, toujours délicate à collationner dans la douteuse littérature New-Age, je retiens trois termes que je relie assez facilement à des concepts connus du magnétisme guérisseur :

  • Feu éthérique
  • Un Feu « vibral »
  • Le Feu Igné

Le dernier feu, d’intuition, me semble être déjà présent dans les textes de la Théosophie, en l’occurrence dans ceux d’Alice Bailey, ce qui pourrait le rapprocher de l’hénokéen, puisque l’hénokéen est un « aimant à feu » (cf Jean-Luc Roime) et que la structure de l’Heptarchie Mystique est liée aux Chohans en Théosophie.

Toujours dans le même texte canalisé, il est bien précisé que cette irruption du Feu Igné est intimement liée à la connexion des corps subtils de l’Être Humain avec une sorte de « super-Âme », qui ressemblerait fort à Atman…
Dès la mise en œuvre de cette connexion, bien concrète quant à l’emploi de certains points le long du corps physique, un torrent de « Feu Igné » vient petit à petit, par capillarité, s’immiscer dans les nâdis et chakras du corps subtil.
L’union des énergies personnelles et de ce Feu se manifeste en certains endroits par des « colonnes de lumière ».

Or la caractéristique fondamentale de ce Feu est qu’il n’a pas un rôle guérisseur. Je répète : Le Feu Igné n’a pas un rôle guérisseur. Il purifie, ni plus ni moins.
Tel un feu.

C’est donc un coup de massue dans un certain ensemble de conceptions préétablies de la gentillesse. Mais…
…Il ne s’agit pas de malveillance. Au contraire, le texte canalisé parle bien d’une délivrance, d’un processus de transformation sacrée qui ne doit pas être pris à la légère.

Lorsque donc Toni Ceron, le fameux spagyriste, nous explique qu’un Archétype de Feu doit être remis en mouvement dans la psychê humaine par delà le bien et le mal, et que pour ce faire en début de protocole un coup de diapason relié au symbolisme du 13 est donné, c’est bien je pense de ce Feu Igné dont il est question.

De même, lorsque dans les illustrations du tantra Nyingma, ou dans les illustrations du Coran on voit des dieux et déesses, des prophètes qui brûlent littéralement, c’est encore de ce Feu Igné dont il est question. Le texte canalisé assure que l’on peut s’attendre parfois à percevoir de vraies flammes dans l’astral / éthérique en regardant une personne qui est en train d’intégrer un peu de Feu Igné.
C’est bien le Feu de Kali, Celle qui aime les crématoires, dont le collier de quarante-neuf crânes humains est homéomorphe aux quarante-neuf portes du Liber Logaeth, et dont le nombre 49 se réduit théosophiquement à treize.

C’est là que tous les procédés de magie noire, ceux qui se sont prétendus libérateurs ont été usurpateurs du Pouvoir de la Merkabah.

Lorsque l’on regarde dans le Tarot de Marseille l’Arcane seize, « la Maison-Dieu » (« l’Âme et son Dieu » d’après Jodorowski), c’est bien le pouvoir de la Merkabah que l’on contemple, les deux fenêtres et la porte formant triangle en sont une évocation.
Cette Maison-Dieu, d’après Toni Ceron, en est un symbole puissant, puisque le panache bi-colore de Feu qui vient frapper la couronne au sommet de la Tour fait directement référence au procédé « d’illumination par la couronne » dans le texte canalisé.

C’est un Arcane qui déçoit, c’est-à-dire qui extrait les idées implantées, mais aussi qui fait démonstration, qui enlève les monstres. C’est, toujours d’après Toni Ceron, un effondrement intérieur, prélude à une chaleur dans les rapports humains et dans les pensées cultivées.
L’effondrement et l’apparente inversion des valeurs que cela suppose, comme envisagé dans l’Arcane précédent, « le Diable », est appelé « décussation pyramidale » par Toni Ceron.

C’est à cet instant précis que toutes les aliénations, tout ce qui a été ingéré, tout ce qui est aliénant, extérieur, tout ce que le temps a fait de nous doit être écroulé, métabolisé. Donc, les traumatismes, les drogues, les addictions, les contraintes, les coercitions, les imaginaires assistés, les carcans, du balai !
Et cela passe nécessairement par cette phase délicate de la décussation, de cette pure combustion intérieure, par un ensemble de déceptions qui, mal comprises, ressemblent à une destruction ténébreuse et folle.

Et c’est là le sens de « l’Instrument de la Râclée » dont parlent les Anges Hénokéens dans les carnets de John Dee et d’Edward Kelley. Pourquoi les Anges avaient-ils une dialectique si agressive, si vindicative vis-à-vis des humains ?
C’est ce qui a laissé supposer que la magie hénokéenne était fondamentalement violente.

En fait, c’est bien une « Magie de la Maison-Dieu », amenant la destruction des illusions, l’effondrement des habitudes de pensée et de vie en société, et surtout la connexion à un Feu Magnifique, lié directement au symbolisme de l’Arcane sans Nom, ainsi qu’au Cube Métatronique, représentation figurée de la fameuse Décussation Pyramidale.

À propos de la magie noire, il faut savoir qu’il existe un ordre alternatif de lecture du Tarot le long de l’Arbre de Vie, donné par un certain Frater Achad et auquel je me suis déjà intéressé sur ce blog.
Classiquement, les vingt-deux lames du tarot de marseille :

  • se répartissent sur les vingt deux sentiers de l’Arbre de Vie.
  • On les répartit en lisant les lames depuis le sommet de l’Arbre (du côté de Kéther)
  • et en descendant « en zig-zag », effectuant une figure appelé « Mesla » ou « Épée de Feu »…Tiens donc…

Dans des domaines plus obscurs, il existe un ordre de lecture des sentiers en commençant par le bas de l’Arbre de Vie, avec la première lame « Aleph » associée à l’Air et au Mat. Le Mat (chaos) y est confondu avec « Maat » l’Ordre Divin. L’ordre de succession des lames, séduisant s’il en est, fini par s’interrompre sans que « Frater Achad » en donne plus de détails.

En pleine inversion des valeurs, le chemin est réputé être celui du Serpent. Toutefois, je me souviens avoir lu un texte qui expliquait que le serpent cherchait à grimper à l’Arbre, mais finissait par sombrer dans l’Abysse.
Je pense que c’est à prendre symboliquement, c’est-à-dire ce que Frater Achad a refusé de révéler, est que son « chemin du serpent » finit par passer dans « Daath » la séfira invisible, et continue dans l’Arbre de la Mort.
C’est l’échec de la décussation pyramidale. La Merkavah n’est pas connectée à l’âme humaine, qui va se perdre dans les profondeurs de Daath. Destin maléficié s’il en est, comme aurait dit un druide de ma connaissance.

Donc : La connexion de la Merkavah à l’Âme humaine injecte des énergies porteuses de Feu, donc de Vie et de Mort. La subjectivité vécue de l’expérience fait penser à une traversée de Daath, mais sous une guidance supérieure. En Rose+Croix, classiquement on dit « le Shin (Feu) dans Yahweh (Yod-Hé-Wa-Hé) donne Yéhéshouah ».

La magie noire vise à faire régner la confusion entre l’expérience vécue et les symboles employés. En utilisant entre autres le « chemin du serpent » dans le Tarot, elle vise à connecter l’âme à Daath pour lui faire croire qu’elle est reliée à la Merkabah.
Dans le premier cas, c’est la connexion au Divin (par la Merkabah) qui picote un peu.
Dans le second cas, il nous est proposé la destruction de soi-même avec l’espoir que cela nous connectera au divin.

A+,
Hiramash.

Le sang de dragon scelle une amitié brisée ?

L’encens « sang de dragon » est issu d’une racine d’un arbre, le dragonnier, que l’on fait suinter à la manière de la résine de pin si je ne me trompe pas.
Or je souhaite mêler ici deux mythes, qui expliqueraient l’intérêt que portent les créatures draconiques à ce type d’encens.

Le premier mythe concerne l’Atlantide, telle que racontée par la Théosophie. En gros le continent de l’Atlantide aurait laissé en s’effondrant dans l’océan un vestige, l’archipel des Açores.
L’effondrement aurait été causé par l’emploi d’une terrible magie noire, poussant les Adeptes et les Maîtres de Sagesse à se cacher.

Le second mythe est celui de la Draconia.
Les Dragons, nobles et puissants, furent autrefois amis avec les humains, d’une complicité telle qu’ils leur confièrent bien des secrets sur la magie des étoiles et des tréfonds de la Terre, ce qu’on appelle aujourd’hui la Grille cristalline. Race d’ingénieurs et de magiciens, ils étaient à l’origine de la formation de la Terre et de l’éveil de l’humanité. À cette occasion, on les appela « Seigneurs de la Première Flamme » ou plus simplement « Seigneurs de la Flamme ».
Ils furent cruellement trahis lorsque les humains commencèrent à pratiquer la magie noire, et durent se cacher dans l’astral pour continuer à agir en attendant des jours plus propices.

Ressemblance patente des deux mythes, qui ne s’arrête pas là. Il existe deux sortes de dragonniers, celui des Açores, qu’on peut surnommer « dragonnier atlante » au vu de ce que nous venons d’écrire, et le dragonnier indonésien dont je parle sur ce blog à propos des sorciers batak.

Je crois que le sang de dragon venant du dragonnier azoréen / atlante doit évoquer, avec beaucoup de nostalgie, l’époque où les dragons et les humains étaient comme « larrons en foire »…
Chaque fois que du sang de dragon variété atlante brûle, pour un dragon c’est un peu une commémoration triste comme la flamme du soldat inconnu…

A+,
Hiramash.

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