Un sulfureux antidote au mental...
...un extrait d'un texte de Nietzsche, où l'âne est déifié.
"Ainsi parlait Zarathustra" :
Je m'aperçois que, sans rire, je me comporte parfois comme un âne pour me protéger de récupérations sournoises...
Ce remède au mental me semble de nature alchimique, c'est une intuition mais je ne saurais pas vous dire pourquoi...
A+,
Hiramash.