La structure du chiffre 49
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Après lecture des travaux de Dean Hildebrandt ici, et relecture de mon propre blog, le chiffre 49 s'applique :
- Aux clés
- Au Liber Logaeth
- Aux angelorum bonorum
Ce chiffre 49, comme une épine dorsale, doit nécessairement posséder la structure suivante :
49 = 7x7 régularité intrinsèque
49 = (1 muet) + 48 (multiple de 2 et 3)
Donc, le "système 49" doit être étudié sous l'éclairage d'une part du septénaire (7) (avec la porte muette), d'autre part du ternaire (3) (monde manifesté hors porte muette).
Du coup, les 49 clés doivent nécessairement pouvoir se décomposer en septenaires et en ternaires, ce qui est le gros du travail de Dean et de Runar (c'est ce dernier qui a tout channelé, le premier en ayant fait une compilation sous la cosmogonie gnostique pure et dure).
De même, les tables du LL doivent se décomposer ainsi. On en connaît le premier ternaire puisque Ave aurait dit au bout de la troisième table "ici commencent les mystères de votre monde".
Enfin, et c'est nouveau, les 49 Angelorum bonorum doivent pouvoir se regrouper trois par trois à l'exclusion d'un, et on savait déjà qu'ils se regroupaient sept par sept. Je ne donne pas cher que "l'ange isolé" ait un rapport avec Carmara...
Le chiffre 7 apparaît sans arrêt, sans arrêt partout en énochien, depuis le SDA frappé d'un heptagone mystérieux, jusqu'aux dimensions des tablettes et aux noms d'une certaine partie (pourcentage ?) des entités.
Une remarque au passage, 3x7 = 21, nombre de lettres de l'alphabet énochien...
A+,
Hiramash.
PS : Je viens également de me rendre compte que la double structure (3;7) des tables du LL se retrouve également dans le Tarot de Marseille (Oswald Wirth), ce qui confirme un peu plus mon hypothèse sur le Livre de Thoth = Liber Logaeth .
Si donc un oracle énochien devait être créé, il devrait s'appuyer sur les tables du "LL" et posséder 49 Lames, dont une blanche et sans nom (clé muette + porte muette). Les noms de ces lames devraient s'appuyer sur les clés, tandis que les images devraient s'appuyer sur les tables, même si techniquement l'inverse serait plus simple à réaliser (les objets décrits dans les clés sont visualisables).