la synchronicité veuve de Jung et de Kammerer

Il y a, dans les milieux les plus "snobs" de la magie, une appétence particulière pour les idées de Carl Gustav Jung. Celui-ci propose un modèle élégant de l'esprit humain, le reliant aux courants collectifs, aux contes pour enfants, et surtout à la synchronicité.
Jung était un disciple apprécié de Freud, mais aussi il en devint plus tard un adversaire après avoir abandonné la théorie sexuelle. En gros, s'interroger sur nos silences et nos orgueils, et leur lien à nos corps, semblait insupportable au psychologue des contes pour enfants. Il devint toutefois très apprécié des magiciens comme expliquant la magie sous des atours "scientifiques".
La psychanalyse était à la base une bien originale méthode linguistique, ressemblant vraiment à la "langue des oiseaux" chère aux alchimistes. Mais c'est sur le tard que Freud y adjoint le constat sexuel érigé (si j'ose dire) en théorie. Même Robert, au café des sports du coin, vous le dira : "C'est le cul et l'argent qui font tourner le monde !". Pourquoi donc ne pas l'admettre quand l'affaire est analysée de manière bienveillante et dépolitisée ?

J'ai donc récemment décidé de "plonger dans la mine", et d'y trouver des références à Freud sur la magie, mais aussi des références à Paul Kammerer, totalement inconnu en France (ou au moins de Google France :D ) :

  • Freud a écrit deux livres dans lesquels il traite en détail du sujet de la magie, de l'animisme et des démons : "Totem et Tabou", ainsi que de "l'inquiétante étrangeté"
  • Paul Kammerer, cité par Freud dans "l'inquiétante étrangeté", est un biologiste qui a travaillé sur la transmission génétique des caractères acquis, mais aussi sur la synchronicité au travers de la Loi des Séries. Curieusement et tragiquement, sa théorie sur la transmission de l'acquis laisse entrevoir que les fruits de l'éducation d'une génération peuvent devenir patrimoine intellectuel pour les générations suivantes au travers des gènes, et idéologiquement a dérangé les universitaires américains, et intéressé les universitaires soviétiques. D'après les américains qui veulent sa réhabilitation, il aurait été victime d'une machination pour le discréditer, lui et sa théorie, tandis qu'il s'est suicidé

A+,
Hiramash.

les talismans et hendaye

Voici les motifs apparaissant sur le piédestal de la croix d'Hendaye :

Et voici les talismans hénokéens de la Grande Table de la Terre, tels qu'ils apparaissent à Dee et Kelley relativement aux quatre directions cardinales :

Vous n'avez rien remarqué ? Les motifs du piédestal proviennent de la croix "cyclique" d'Hendaye, telle que présentée par Fulcanelli dans "le Mystère des Cathédrales".
A+,
Hiramash.

L'identité secrète de Shakespeare

Cet article, sur un blog anglophone aux mêmes méthodes que les miennes, révèle quelque chose d'incroyable : John Dee avait connu, pendant quelque temps, un certain Francis Garland comme élève, qui n'était autre que Shakespeare jeune ! Cela explique que Shakespeare connaissait aussi bien l'occulte et avait entendu parler de l'hénokéen...
http://vincentbridges.com/?p=126

A+,
Hiramash.

Runes et tours de pierre

C'était il y a quelques mois je crois, que j'avais fait une expérience sur TAN, un aethyr de la Terre qui représente les forces d'équilibre de Tiphereth. J'y avais vu entre autres symboles bizarres mais vivaces, le Mont Saint-Michel ainsi qu'une plage avec une tour génoise. Concernant le Mont Saint-Michel, il me semble avoir traité le sujet dans de précédents articles, où j'y constate que celui-ci est bien une porte de passage vers d'autres Mondes.
C'est à propos de la tour de pierre au bord de la plage que j'ai fait quelques recherches...et qui s'avèrent concluantes, car certaines de ces données me sont arrivées sur un plateau en or !! Il s'agit de constructions que l'on retrouve tout au bord des plages de Méditerrannée, en Italie, dans les îles Cyclades, en Corse, dans les Baléares. Je dois en oublier d'ailleurs ; ce sont des constructions cylindriques, parfois côniques, en pierre, dont la fonction n'est pas claire. On suppose tout au plus que ce sont des bâtiments militaires, administratifs ou religieux.
Ainsi trouve-t-on des "nouraghes", des "talayots", des "torri" (torii ?), des tombes en nid d'abeilles, des "sesi", des "grottes au fées". Toutes ont en commun d'être des lieux chargés de magie, et construites comme de petites tours, comme celle que j'ai vue dans ma vision.
Voici quelques liens sur Wikipédia :

Pourquoi tout cela ? La réponse est dans les runes, si j'ose dire. Si on considère la linguistique faite par les universitaires ces dernières années, ils ont découvert qu'il y a trois types au moins de runes :

  1. Les runes scandinaves, servant de support à la langue norroise
  2. Les runes étrusques, proches des langues sardes, corses et toscanes/italiennes
  3. Les runes turques, dont je sais peu de choses

En fait, il a été démontré que ces runes ont un tronc commun, du côté des runes turques précisément. L'alphabet et le langage sont deux choses différentes, mais permettez que je relève la coïncidence suivante : Une hypothèse, plutôt battue en brèche d'ailleurs, avance que les sardes seraient d'origine turque précisément, les "Sherdans" ou quelque chose comme ça ! Ça me rappelle vraiment le contexte du roman "l'Oracle della Luna" de Frédéric Lenoir, où l'on navigue vraiment entre ces peuplades.
J'ai donc envie de dire que les runes et les tours génoises ont un lien historique et magique, qui reste à "gratter"...
A titre anecdotique, je précise la présence de "frying pans", sortes de disques symboliques dont certains sont des représentations de la voûte étoilée. On trouve ces objets précisément dans ces mêmes civilisations torréennes.
A+,
Hiramash.

Les menhirs font de la viticulture

J'avais l'intuition que les méthodes de spagyrie pourraient être appliquées avec intérêt à la manufacture du vin, mais cela va plus loin avec les énergies dégagées par les menhirs :
http://www.ldi5.com/archeo/experiences%20avec%20les%20menhirs.php

A+,
Hiramash.

Le caducée de Paracelse et le Liber Logaeth

Avez-vous remarqué que 48=4x12 ?
"Très drôle, Hiramash", me direz-vous...C'est plus sérieux que cela...
En hénokéen, le Liber Logaeth est fait de 49 portes, 48 plus une porte muette, une sorte de réalisation ultime "à la Daath", où l'Arcane sans Nom prend toute sa place. En effet, 49, c'est 7x7 donc un déploiement du septénaire et de sa lumière, mais 49 se réduit aussi par "arithmosophie" en 4+9=13.
Et en effet, 48 est bien un parcours quadruple du zodiaque, soit symboliquement 4x12.
Paracelse ? Hé bien, il parlait de cinq médecins intérieurs, le caractériste, le naturel, le spirituel, le fidèle et un autre que j'ai oublié. Chacun soigne une entité, et un s'occupe de l'entité du poison projetée sur l'homme.
Pour franchir cette entité du poison, il fallait parcourir 12 fréquences le long d'un caducée descendant puis montant autour du corps de l'homme. Ces 12 fréquences représentaient le franchissement du zodiaque, dont on s'occupe ces temps-ci dans nos affaires hénokéennes. Quant on lit Toni Ceron, les premières fréquences correspondent à une descente en soi, une introspection, ce qui m'a fait penser aux "éthers de la solitude", TEX, RII, LIL, etc...Cette descente correspond chez lui à Hokhmah.

J'ai donc pensé que "suivre le caducée", c'est suivre d'une part l'ordre des aethyrs, du plus bas au plus haut, mais aussi l'ordre des portes du Liber Logaeth, de la plus basse à la plus haute. Ainsi, et en contradiction avec ce qu'a écrit Crowley (qui doit garder de sa valeur ?), le premier aethyr TEX n'est pas associé à Malkuth mais à Hokhmah, et le dernier aethyr est associé à Kéther. On remarquera alors que Yesod et Tiphéreth apparaissent à deux reprises, en phase montante et descendante.
Les aethyrs sont 30=6x5, les signes du zodiaque sont 12=6x2, c'est-à-dire que 5 aethyrs couvrent deux signes du zodiaque.
Les portes du LL sont 48 = 4x12, donc chaque signe du zodiaque est couvert par 4 portes.
A+,
Hiramash.

L'échelle orphique et les astéroïdes

Dans le sous-système "OM-DOZMT" du système hénokéen, il est dit que l'abysse n'est pas "Daath", mais plutôt le zodiaque qui serait situé à mi-chemin entre le Ciel et la Terre. Paracelse appelait le zodiaque "Entité du Poison".
Voilà que je viens de découvrir l'échelle orphique du zodiaque, dont je ne trouve pas trace ni en français, ni dans les textes publiés par Agrippa :
L'échelle orphique du zodiaque ici.
C'est en anglais, d'accord, mais c'est intéressant à double titre :
- Ce symbolisme est relié aux astéroïdes de la ceinture, dont j'ai parlé dans un autre article. La ceinture d'astéroïdes représente une conscience éclatée, à l'origine en une sphère inconnue, un peu comme le corps d'Osiris. En hénokéen, il s'agit d'une barrière gardée par un esprit araignée.
- Le symbolisme des oiseaux me renvoie directement au Liber Pennae Praenumbra, qui comporte une longue succession de noms d'oiseaux, comme dans cette échelle à 12 degrés. On sait également qu'en hénokéen, ou plus simplement dans le courant Maatien, le nombre 24=2x12 est fondamental.
A+,
Hiramash.

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